Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
labosse1218.over-blog.com

joseph@aulnette.com 06 85 02 50 45

2 - Historique de l'école

La rétrospective des retrouvailles du dimanche 20 août 2023 est publiée en bas de cette rubrique.

N’hésitez pas à transmettre anecdotes et photos de cette belle journée à :

joseph@aulnette.com

Préambule

Un grand merci à Armelle Louise (petite fille de Marcel et de Suzanne Louise, instituteurs cités ci-dessous) pour son aide précieuse quant à la construction de l'historique de l'école de La Bosse !

Quant à vous, qui consacrez du temps à consulter ce blog, si c’est à l’école de La Bosse que vous avez appris à lire, à écrire et à compter, pensez à apporter votre pierre en citant un épisode vécu en classe ou en récréation !

[Joseph Aulnette]

JA49 (35235)

1836

Françoise Morel (18 ans) est institutrice à La Bosse en 1836

1846

Cécile Douvillez est institutrice à La Bosse en 1846.

Cécile est née à Combourg le 26 décembre 1823. Elle a épousé François Martel (né à Meillac) et ils se sont mariés à La Bosse le 7 novembre 1848

1853-1864

Françoise Daguenaud (née le 20 mars 1821 au bourg de La Bosse, fille de Julien Daguenaud et de Perrine Jochault) aurait été institutrice à La Bosse (classe mixte) de 1853 (soit 12 ans avant la création de l'école communale) à 1864 minimum.

Françoise est décédée le 2 septembre 1865 à La Grée, en Le Sel.

1865

L'école communale mixte de La Bosse a été créée en 1865 par trois religieuses de la Congrégation des Saints-Cœurs de Paramé

... mais, à La Bosse, l'école était enseignée avant

1872

Perrine Barré, en religion Sœur Marie-Thimothée (née le 23 mai 1851 au bourg de La Bosse, fille de Jean-Baptiste Barré et de Françoise Latouche) est auxiliaire-institutrice à La Bosse en 1872.

Au recensement de 1872, Perrine Barré, Jeanne-Marie Renimel et Louise Renimel (toutes trois institutrices)  vivent sous le même toit au bourg de La Bosse.

Lorsque Perrine quitte La Bosse, elle va enseigner à Cornillé.

1872-1874

Marie-Louise Renimel, en religion Sœur Marie-Dosithée (née le 20 septembre 1844 à Loutehel) est institutrice à La Bosse de 1872 à 1874 (minimum).

Marie-Louise est décédée le 21 mai 1928 à Paramé,  à la communauté Notre-Dame-des-Chênes.

1872

Jeanne-Marie Renimel, en religion Sœur Marie Gonzague (née le 18 février 1846 à Loutehel) est institutrice à La Bosse en 1872.

Jeanne-Marie est décédée le 2 février 1931 à la communauté "Notre-Dame-des-Chênes" à Paramé.

1874

Monsieur Dartois (Curé) enseigne à La Bosse en 1874.

1880

En 1880, l'école de La Bosse a un effectif de 84 élèves.

1881

Marie Guérault (née vers 1838) est institutrice à La Bosse vers 1881.

1881

Eugénie Guinard, née le 15 septembre 1847  à Langan (35) est institutrice religieuse à La Bosse vers 1881.

1881-1902

Anne-Marie Caillard, en religion Sœur Saint Martin (née le 7 juillet 1847 à Noyal-sur-Vilaine) est institutrice à La Bosse de 1881 à 1902, année de la laïcisation. Ensuite, elle retourne à sa communauté "le couvent de Notre-Dame-des-Chênes" à Paramé.

Au début de l'année 1901, Anne-Marie est recensée à La Bosse, au lieudit "La Perrière", probablement au Presbytère.

1882

L’enseignement primaire est obligatoire pour les enfants âgés de six à treize ans.

Le jour de pause hebdomadaire est fixé au jeudi.

1883 : le conseil municipal vote l’installation d’une commission municipale scolaire pour surveiller et encourager la fréquentation des écoles. Les trois membres sont : Jean Lunel, conseiller municipal, Pierre Jollivel, conseiller municipal, Édouard Porée, conseiller municipal.

Le conseil municipal vote la création d’une caisse des écoles dans la commune de La Bosse.

1884

François Macaire enseigne à La Bosse en 1884. Jean Aulnette, né à La Touche en 1871 est l'un de ses élèves.

1884 – samedi 22 mars

Dictée écrite par Jean Aulnette (13 ans), de La Touche

1886-1901

Julienne Greget (en religion Sœur Marie, née en 1959 ~) est aide-institutrice à l'école de La Bosse de 1886 à 1901.

Julienne est décédée à 65 ans à Paramé en novembre 1924.

1889 : Jean Massicot, maire de La Bosse, demande le transfert de l’école mixte (dont les locaux sont loués au sieur Fontaine pour des raisons d’hygiène) vers la maison Perrin-Jochault, suite à la visite des locaux par le médecin du Sel, le docteur Prod'homme.

23 juillet 1889 : « le sieur Jochault loue et afferme au Maire de la commune de La Bosse qui accepte, pour servir de salle d’école à La Bosse, une maison de demeure composée de 2 pièces au rez-de-chaussée avec corridor, 2 chambres à l’étage et grenier sous le toit, jardin au sud ».

1894

À la rentrée scolaire 1894-1895, la semaine passe de six jours travaillés à cinq jours. Le jeudi est libéré.

3 avril 1898 : délibération du conseil municipal sur le projet d’acquisition de la maison et du jardin du sieur Jochault, ladite maison étant occupée par les Religieuses dirigeant l’école mixte de la commune.

19 mars 1899 : Questionnaire rempli par l’inspecteur primaire et adressé à l’Inspecteur d’académie : « il est nécessaire de dédoubler l’école mixte de La Bosse et de mettre fin le plus tôt possible à la mauvaise installation scolaire dont souffrent les enfants de cette commune ». 39 garçons et 55 filles, total de 94 élèves.

18 mai 1899 : « la commune de La Bosse ne possède actuellement aucune école communale de filles et de garçons, ni de maison commune pour la mairie, la seule école existante mixte est faite dans une maison appartenant au sieur Jean-Marie Jochault du Bourg ».

Signé par l’inspecteur primaire de Redon, nom illisible.

21 janvier 1901 : le projet de construction d’un groupe scolaire, ces travaux consistant en la construction d’une école de garçons et en la transformation de l’école mixte en école de filles, est approuvé par le Ministre de l’Instruction Publique.

1901 : délibération du conseil municipal en faveur de l’acquisition des terrains : acquisition Jochault Jean-Marie 4 680 francs, acquisition Massicot Eugène : 350 francs.

1901

Joséphine Lemonnier (née vers 1867) enseigne à La Bosse en 1901. Elle habite au lieudit "La Perrière", sans doute au Presbytère.

Vers 1902 : 1 xxxx, 2 Elie Jouin, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 Pierre Jouin, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 Maria Jouin, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx, 25 Maria Robert, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx, 31 xxxx, 32 xxxx, 33 xxxx.

1902-1905

Henriette Thierry (née le 27 janvier 1880 à Pontorson, dans la Manche), a suivi les cours de l'école normale de Rennes et obtenu son brevet élémentaire en juin 1896. Elle a exercé comme suppléante à l'école de Pleine-Fougères en février-mars 1902 puis à Orgères en juin-juillet 1902. Elle est arrivée comme stagiaire à La Bosse le 11 septembre 1902 et elle y est restée jusqu'à la rentrée 1905.

Henriette a laïcisé l'école de La Bosse en 1903 et la population apprécie de plus en plus sa bonne tenue, sa conduite, son ardeur au travail. Les progrès de l'instruction et de l'éducation des petites filles ont frappé les esprits les plus difficiles. Inspectée en février 1905, elle obtient une note exceptionnelle de 16/20. L'inspecteur primaire ne tarit pas d'éloges pour cette jeune femme décrite comme simple et aimable.

Henriette se marie à la Bosse le 2 septembre 1905 avec Amand Fontaine, instituteur, né à Dompierre-du-Chemin le 2 septembre 1873. Ensuite, elle part enseigner à Brain-sur-Vilaine.

Aussi, bien que cette maîtresse par son zèle, sa capacité, mérite l'avancement qu'elle sollicite, il y aurait lieu de la maintenir quelques temps encore dans son poste actuel. Certes, le choix qu'elle fait de se marier d'une part, d'enseigner aux côtés de son mari à Brain-sur-Vilaine à compter de septembre 1905 d'autre part, va nuire à sa carrière. L'inspecteur lui reproche implicitement d'avoir « dû, par suite de son mariage avec un instituteur, quitter la localité de La Bosse où tout le monde l'estimait ».

[Publication Ouest-Eclair du 16 octobre 1902 :  Henriette Thierry est nommée institutrice stagiaire à l’école de La Bosse.]

[Publication Ouest-Eclair du 23 septembre 1905 : Henriette Thierry, institutrice à La Bosse, est nommée à Brain-sur-Vilaine.]

Septembre 1903 : l’école de La Bosse fonctionne en groupe scolaire depuis cette date.

1903-1912

Jules Digué (né le 27 septembre 1870 à Angoville-sur-Ay, dans la Manche) enseigne à La Bosse de 1903 à 1912. Il doit être le 1er instituteur laïc à exercer à La Bosse. Jules est nommé secrétaire de mairie le 13 décembre 1903. Avant de venir à La Bosse, il enseignait à Sainte-Anne-sur-Vilaine et en 1912, il part à La Couyère.

Marié avec Amélie Dorel à Dingé le 30 avril 1901, père de Suzanne née à La Bosse le 31 octobre 1903 et de Renée née à La Bosse le 15 janvier 1905, Jules est instituteur à La Couyère lorsqu'il est mobilisé en 1914 pour la Grande Guerre. Caporal au 80ème régiment d'infanterie territoriale sous le matricule 9281, il est "Mort pour la France" le 1er février 1916, à Boësinghe, en Belgique. Son nom est gravé sur le monument aux morts de La Couyère (35). Sa sépulture se trouve à la Nécropole Nationale Notre-Dame-de-Lorette à Ablain-Saint-Nazaire (62), carré 37, rang 4, tombe individuelle 7313.

Le dernier acte de naissance rédigé par Jules Digué, secrétaire de mairie à La Bosse, est celui de Joseph Barbotin né le 12 août 1910.

1905-1929

Léocadie Gombert (née Gaubert le 1er janvier 1886 au Theil-de-Bretagne, mariée à Jean-Marie Gombert le 23 novembre 1905), est nommée, à 19 ans, institutrice à l'école des filles de La Bosse à la rentrée scolaire du 11 septembre 1905 et elle reste jusqu'au 30 septembre 1929, date à laquelle elle laisse son poste à sa fille Odette qui vient de se marier avec Marcel Louise, directeur de l'école. Léocadie part enseigner au Petit-Fougeray où elle restera jusqu'au 30 décembre 1940, date de son départ à la retraite. Avant La Bosse, elle a enseigné à La Boussac du 16 septembre 1903 au 31 octobre 1903 et à Pleine-Fougères du 1er novembre 1903 au 10 septembre 1905.

[Publication Ouest-Eclair du 23 septembre 1905 : Léocadie Gaubert, institutrice à Pleine-Fougères, est nommée à La Bosse.]

10 avril 1907 : subvention allouée à posteriori par l’État à la commune de La Bosse pour la construction d’un groupe scolaire (maison d’école).

Vers 1912 : 1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 Marie Aulnette, 13 Céline Guillopé, 14 Véronique Lunel ? 15 Elise Aulnette, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 Clarisse Jolivel, 20 Germaine Jolivel, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx, 25 xxxx, 26 xxxx, 27 Eugénie Drouin.

1912-1917

Emile Oblin (né le 19 septembre 1872 à Landisacq, dans l'Orne, marié le 29 mars 1910 à Châteaugiron avec Marie Eugénie Davy) enseigne à La Bosse de 1912 à 1917. Il est aussi secrétaire de mairie. Avant de venir à La Bosse il a enseigné à Sixt-sur-Aff, à La Dominelais et à Monterfil. Lorsqu'il quitte La Bosse, il part enseigner à Rannée où il décède en septembre 1921 à l'âge de 49 ans. Ses obsèques ont lieu le 28 septembre 1921 à Châteaugiron.

Emile Oblin a été recensé à La Bosse le 31 mars 1911

Le premier acte de naissance rédigé par Emile Oblin, secrétaire de mairie à La Bosse, est celui de Marie Jolivel née le 4 octobre 1910.

Le dernier acte de naissance rédigé par Emile Oblin, secrétaire de mairie à La Bosse, est celui de Prudent Aulnette né à La Touche le 28 juin 1917.

Emile Oblin est recensé à Rannée le 1er juin 1921

1915

Victor Laurent (né le 31 décembre 1885 à Guichen) est instituteur à La Bosse en mai 1915.

1917-1927

Léon Rébillard (né le 23 mai 1886 à Pleugueneuc et marié le 4 septembre 1907 à Pleugueneuc avec Berthe Le Pezron) est directeur et instituteur à l'école des garçons de La Bosse de la rentrée 1917 à 1927. Durant cette période, il est aussi secrétaire de mairie. Avant son arrivée à La Bosse, il enseignait à Rannée et après La Bosse, il est parti à Dingé.

le premier acte de naissance rédigé par Léon Rébillard, secrétaire de mairie à La Bosse, est celui de Francis Barbotin né le 17 décembre 1917.

Léon décède le 5 juillet 1976 à Dingé à l'âge de 90 ans.

Ouest-Eclair du 28 septembre 1919

Mouvement dans le personnel de l’enseignement primaire

La Bosse (E.), Rébillard de Rannée (E. G.)

Rannée (E. G.), Oblin de La Bosse (E. G.)

Vers 1920 : 1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 Anna Aulnette ? 24 xxxx, 25 xxxx, 26 Léocadie Gombert (institutrice) ? 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx, 31 xxxx.

1921 – mercredi 26 octobre

L’inspecteur du primaire transmets d’excellentes appréciations à Léocadie Gombert, institutrice à La Bosse

1927-1939

Marcel Louise (né le 15 septembre 1905 au Cormier en Ercé-en-Lamée) dit "Monsieur Louise", succède à Léon Rébillard en devenant directeur et instituteur à l'école des garçons de La Bosse, ainsi que secrétaire de mairie, du 1er octobre 1927 à juillet 1939. Il se marie à La Bosse le 27 août 1929 avec Odette Gombert (répertoriée ci-dessous). À la déclaration de la guerre, comme la plupart des hommes de son âge, il est mobilisé et fait prisonnier.

À son retour de captivité, il part enseigner à l'école de la Liberté à Rennes où il restera du 1er octobre 1945 au 30 septembre 1951. Ensuite il enseignera à Paris.

Marcel avait exercé son premier poste d'instituteur à Teillay du 29 septembre 1924 au 18 novembre 1925, jour de son départ au service militaire à Mayence, en Allemagne. À son retour, il enseigna à Baulon (du 1er juin 1927 au 30 septembre 1927).

Il est décédé le 19 mars 1956 (à l'âge de 50 ans) à Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine.

*****

Marcel Louise était mon instituteur. C'était un homme exigeant. Quand un élève ne lui donnait pas satisfaction, soit il le soulevait par les joues, soit il lui donnait des coups de règles sur le bout des doigts. Ces pratiques étaient courantes à l'époque et personne ne disait rien.

[Bernard Massicot (95 ans) le 30 août 2022]

BM26 (35131)

*****

J'ai souvent entendu mon père (Aristide) dire que quand Monsieur Louise lui enseignait l'école, il descendait régulièrement à la cave pour boire une bolée de cidre. Les élèves, restés seuls dans la classe, entendaient un grincement lorsqu'il tournait la clé du fût.

[Marie-Paule Thomas, née Hervochon (73 ans)  le 11 mai 2023]  

MPT49 (35047)

*****

Quand mon père (Arsène) a terminé l'école primaire, Monsieur Louise (son instituteur) aurait voulu qu'il poursuive ses études. Il est allé rencontrer mon grand-père (Victor) chez lui à Pouchard mais ce dernier n'a pas voulu laisser partir son fils. Il avait besoin de lui à la ferme.

[Marie-Christine Nourisson, fille d'Arsène (66 ans) le 8 juin 2023]

MCN57 (22197)

Année scolaire 1928-1929 : 1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 Arsène Nourisson, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 Marcel Louise (instituteur), 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx, 25 xxxx, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx, 31 xxxx, 32 xxxx, 33 xxxx, 34 xxxx, 35 xxxx, 36 xxxx, 37 xxxx.

1929-1930

Odette Louise (née Odette Gombert le 10 avril 1908 à La Bosse-de-Bretagne)fille de Léocadie Gombert répertoriée ci-dessus, mariée à Marcel Louise (directeur de l'école) le 27 août 1929, à La Bosse, enseigne à La Bosse de la rentrée 1929 à décembre 1930.

Elle avait débuté sa carrière d'enseignante dans le Maine-et-Loire après avoir été élève dite "libre" de l'école normale d'Angers en 1927. Elle a passé l'épreuve pratique du CAP (certificat d'aptitude pédagogique) le 7 février 1930, alors qu'elle est institutrice stagiaire à La Bosse depuis la rentrée précédente sur le poste laissé par sa mère.

Odette décède le 13 décembre 1930 à Rennes, à l'âge de 22 ans. Sa tombe est au cimetière de La Bosse.

JA49 (35235)

1930-1931

Geneviève Le Guen (née Guilbert le 24 juin 1906 à Barfleur, dans la Manche) est institutrice à La Bosse. Elle remplace Odette Gombert de décembre 1930 à l'été 1931. Ensuite, elle va enseigner à Bain-de-Bretagne.

Geneviève est mariée avec Gustave Le Guen, contrôleur des contributions indirectes.

Source : recensement du 1er juin 1931.

Ouest-Éclair du 24 juin 1931

La Bosse-de-Bretagne

Résultats du certificat d’études primaires

Ecole publique de garçons – 2 élèves présentés, 2 élèves reçus : Aulnette Arsène, à La Touche ; Drouin Théophile à Pouchard.

Ecole publique de filles – 1 élève présentée, 1 élève reçue : Nourisson Gabrielle, au bourg.

A tous, nos félicitations.

1931-1932

Madeleine Foliard (née le 11 octobre 1907 à Miniac-Morvan) enseigne à l'école des filles, à La Bosse, de la rentrée 1931 à juillet 1932.

Avant, elle enseignait à Saint-Thual où elle a obtenu le CAP en 1930 et, à la rentrée scolaire de 1932, elle est nommée à Trévérien.

Madeleine est décédée le 4 janvier 1984 à Rennes.

1932 : écoulement des eaux des égouts de l’école des filles dans le terrain du sieur François Lunel.

1er avril 1932 : création du poste d’instituteur adjoint à l’école publique de garçons.

1932-1945

Suzanne Louise (née Suzanne Lucas le 20 septembre 1910 à Saint-Malo) devient la 2ème épouse de Marcel Louise le 26 juillet 1932 (mariage à Rennes). Le 16 septembre 1932, elle succède à Madeleine Foliard à La Bosse. Elle est nommée à l'école des filles et elle y reste jusqu'au 14 octobre 1934. Le 15 octobre 1934, elle enseigne à l'école des garçons où elle reste jusqu'au 31 décembre 1944. Ensuite, elle quitte La Bosse et part enseigner à Acigné pendant quelques mois, puis à Rennes, au lycée Martenot, de 1945 à 1951, et enfin à Paris jusqu'à sa retraite en 1967.

Avant d'arriver à La Bosse, Suzanne enseignait à Bain-de-Bretagne, en cours complémentaire. C'est là qu'elle a passé le CAP (épreuve pratique) le 7 février 1930.

Suzanne est décédée le 31 octobre 2001 (à l'âge de 91 ans) à La Verrière, dans les Yvelines.

*****

Odette Gaulay (ma mère) a été scolarisée dans la classe de Suzanne Louise (née Suzanne Lucas). Beaucoup plus tard, elles ont eu l'occasion de se rencontrer à plusieurs reprises.

[Joël Debroize (70 ans) - le 15 juin 2023]

JD53 (35069)

7 novembre 1932 : l’avis favorable émis par l’Inspecteur d’Académie à la construction d’une 2nde classe à l’école des garçons est adressé au Préfet.

6 mars 1933 : constat d’effectifs fait par l’inspecteur primaire et transmis l'Inspection Académique : école des garçons : 51 élèves (2 classes dans une seule salle), école des filles : 34 élèves (1 classe).

En novembre 1933, vu de l’effectif de 51 élèves, il a été projeté de construire une 2ème salle de classe à l'école des garçons.

PS : en réalité, l'école des garçons n'est pas agrandie. Le faible taux de natalité pendant le guerre 39-45 en est sans doute la première cause. La seconde étant liée au fait qu'au début des années 50, les deux écoles (filles et garçons) se sont regroupées.

1933

Anne-Yvonne Montfort (née le 31 janvier 1912 à L’Hermitage-Lorge, dans les Côtes-du-Nord) est nommée institutrice suppléante à La Bosse en mai 1933. Elle passe son CAP à La Bosse le 19 mai 1933 et elle remplace Suzanne Louise pendant un congé de maternité (naissance de Maryvonne Louise le 18 mai).

Ensuite, Anne-Yvonne est nommée au Chatellier.

Elle décède à l'âge de 101 ans le 20 juillet 2013 à Quimper.

1934

Marie Michel (née le 5 octobre 1912 à Saint-Servan) est nommée institutrice intérimaire à l'école des filles de La Bosse. Elle obtient le CAP (épreuve pratique) à La Bosse le 20 avril 1934 et enseigne en remplacement de Suzanne Louise, pendant un congé de maternité (naissance de René Louise le 12 juillet). Ensuite, Marie va enseigner à Plerguer.

Elle se marie avec Francis Urban le 30 mars 1937 à Saint-Cast.

Elle décède le 21 juillet 1981 à Léhon, dans les Côtes-du-Nord.

1934 : 1 Germaine Masson, 2 Emma Robert, 3 Paulette Messu, 4 Marie Dumas, 5 Bernadette Hervochon, 6 Yvette Marsolier, 7 Colette Menoux, 8 Marie Guibert, 9 Denise Nourisson, 10 Marie Masson, 11 Madeleine Nourisson, 12 Alphonsine Chevrel, 13 Germaine Chevrel, 14 Yvonne Aulnette, 15 Marie Marsolier, 16 Odette Gaulay, 17 Simone Giboire, 18 Odette Chevrel, 19 Madeleine Moutel, 20 Madeleine Lemoine, 21 Yvette Richomme, 22 Marie Janvier, 23 Marie-Thérèse Menoux, 24 Denise Beaufils, 25 Madeleine Menoux, 26 Yvonne Drouin, 27 Emma Robert, 28 Elise Brochard, 29 Simone Barbotin, 30 Marie Deroche, 31 Marie Masson, 32 Germaine Nourisson. [BC49]

1934-1935

Maria Gaillard (née le 11 mars 1912 à Livré-sur-Changeon) est institutrice intérimaire à l'école des filles, à La Bosse, de la rentrée 1934 à la fin de l'année scolaire en 1935.

Maria est décédée le 24 octobre 2005 à Rennes.

1935 : Suzanne Louise avec 27 élèves

1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 Roger Guiheux ? 23 xxxx, 24 Rémi Brochard ? 25 xxxx, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 Suzanne Louise. [AL67]

Vers 1935 : Marcel Louise avec 39 élèves

1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx, 25 xxxx, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx, 31 xxxx, 32 xxxx, 33 xxxx, 34 xxxx, 35 xxxx, 36 xxxx, 37 xxxx, 38 Arsène Jolivel, 39 xxxx, 40 Marcel Louise. [AL67]

1935-1936

Marie-Anne Salaün (née le 16 mars 1912 à Le Faou, dans le Finistère) enseigne à l'école des filles, à La Bosse, de la rentrée 1935 à la fin de l'année scolaire en 1936.

Avant, Marie-Anne était institutrice stagiaire à La Bouëxière, où elle a passé le CAP (épreuve pratique) en mars 1933.

Marie-Anne s'est mariée en août 1936 avec Jean Mével à Le Faou.

1936 : constat du mauvais état des écoles : des réparations urgentes des classes, vestiaires, escaliers et fenêtres sont à prévoir.

1936 – rentrée scolaire

L’âge minimum de l’instruction obligatoire est porté à quatorze ans. Il était fixé à treize ans depuis 1882.

1936 -1946

Yvonne Lucas (née le 4 janvier 1915 à Saint-Servan) – aucun lien de parenté avec Suzanne – enseigne les cours élémentaires, moyens et fin d'études à l'école des filles, à La Bosse, de la rentrée 1936 à 1946. Elle obtient le CAP, épreuve écrite, le 17 février 1938 à La BosseElle assure aussi les fonctions de secrétaire de mairie pendant la guerre, en remplacement de Marcel Louise qui est en captivité. Suzanne Louise, l'épouse de Marcel, a refusé car en plus de sa classe, elle doit enseigner dans celle de son mari. Désormais, elle est en charge de tout l'effectif de l'école des garçons.

Avant, Yvonne enseignait à Rennes, dans une école située boulevard de Metz.

Yvonne Lucas s'est mariée avec Francis Bauduin le 28 novembre 1946 à Rennes.

Elle est décédée le 7 juin 1998 à l'âge de 83 ans à Combourg.

Vers 1937 : 1 Paulette Messu ? 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 Odette Gaulay ? 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx, 25 xxxx, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx. [JD53]

1938-1946 – du début octobre 1938 à fin mai 1946

J'ai sept ans lorsque, début octobre 1938, je débute ma scolarité avec Suzanne Louise à l’école publique de La Bosse. Je n’ai que trois cents mètres à faire pour m'y rendre. À la rentrée d’octobre 1940, mes parents m’envoient à l’école privée de Pancé. Je dois faire cinq kilomètres à pied le lundi matin, le mercredi soir, le vendredi matin et le samedi soir. Je suis hébergé chez ma grand-mère maternelle, Anastasie Massicot, qui est veuve. Mon grand-père, Jean, est mort des suites de la guerre 14-18. Pour le repas du midi, je ne suis pas seul car grand-mère reçoit aussi mes cousins : Guy, Raymond et Robert Massicot. Le jeudi et le dimanche (jours de repos), je suis chez mes parents au bourg de La Bosse.

Pendant mes années de scolarisation à Pancé, Camille Chevrel, Ferdinand Lunel, Joseph Menoux et son frère Hubert, Marcel Aulnette, Robert Chevrel (et quelques autres élèves de La Bosse dont j’oublie les noms) vont à l’école privée du Sel.

Pour ma dernière année d'étude, bien qu’étant toujours en primaire, j'intègre le pensionnat Saint Joseph à Bain-de-Bretagne. Je quitte définitivement les bancs de l’école à la fin du mois de mai 1946, soit six semaines avant l'arrivée des grandes vacances, car mes parents ont besoin de moi pour la récolte du foin. Il faut le couper, le faner, le mettre en andins et le ramasser en vrac.

[Robert Lunel (89 ans) – le 10 décembre 2020]

RL31 (35030)

Eté 1939 : René et Maryvonne Louise font leurs devoirs de vacances dans la cour de l'école avec l'aide de leur père Marcel qui, début septembre, va devoir partir à la guerre [AL67] 

Années 1939-1945

Pendant les années de guerre, au cours des vacances d’été, nous laissons nos lapins en liberté dans la cour de l’école. Nous devons les surveiller car le chat de Marie-Joseph Moutel (la voisine) est souvent sur le mur en pierre situé en limite de propriété et il est à l’affut.

[Maryvonne Louise (89 ans) – le 26 juillet 2022]

ML33 (75115)

Printemps 1940 : Marcel Louise, directeur de l'école de La Bosse et secrétaire de mairie, mobilisé pour la guerre 39-45, est de retour pour une courte permission [AL67]

Jeudi 3 avril 1941 : courrier de l’Inspecteur d’Académie adressé au Préfet :

Écoles publiques de La Bosse, nature des travaux et délai : réfection des plâtres des classes, couloirs et cabinets des 2 écoles, réfection des planchers des 2 écoles, réfection des peintures des 2 écoles.

Ces travaux seront exécutés pendant les grandes vacances, si la subvention est accordée.

10 avril 1941 : aide du département, une subvention est allouée pour « travaux particulièrement urgents » pour la réfection du parquet de l’école des filles.

1943

Marie-Thérèse Lavollée (née le 27 décembre 1911 à Paimpont) enseigne à La Bosse en 1943. Avant, elle était institutrice stagiaire à Bourgbarré où elle a passé l'épreuve écrite du CAP en 1936 puis elle est allée enseigner à Muel. À La Bosse, elle a probablement remplacé Suzanne Louise lorsqu'elle passait le concours pour enseigner dans des classes élémentaires de lycées.

Marie-Thérèse s'est mariée avec Emile Robin le 6 octobre 1937 à Rennes. Elle est décédée le 30 mai 1996.

1943 ~

Jacques va à l’école en poussant un cercle

Nous sommes à l'époque de la guerre et mes parents habitent à Rennes. Pour des raisons de sécurité, ils me mettent en pension pour un an chez Emmanuel et Emilie Ginguené, agriculteurs à La Veslais, en Ercé-en-Lamée.

De la Veslais, je vais à pied à l’école à La Bosse et je suis scolarisé dans la classe de Madame Suzanne Louise. Comme d’autres enfants, j’arpente mon chemin en poussant un cercle métallique avec un manche en bois fourchu. Mes parents m'encouragent à prendre mon cercle car ça m'évite de rester traîner sur mon chemin et ça me permet d'arriver à l’heure à l'école. Avant de rentrer dans la classe, j’accroche mon cercle sur un mur de la cour de récréation. 

 [Jacques Papail (85 ans) – le 8 janvier 2018] 

JP32 (44026)

*****

Un soir en rentrant de l'école, à la sortie du bourg, je commence à descendre la côte lorsque mon cercle m'échappe. Il termine sa course avant le pont qui enjambe le ruisseau des Bruères. Le conducteur d'un camion de la Poste arrivant en sens inverse l'évite de justesse. Il récupère mon cercle et poursuit sa route sans pouvoir me le rendre car, pour ne pas me faire disputer, je cours me cacher derrière les buissons avec mes copains. Le lendemain midi, je vais voir le conducteur du camion lorsqu'il prend son repas chez Ange et Maria Hugues  et il me  rend mon cercle.

 [ Jacques Papail (90 ans) – le 1er août 2022] 

JP32 (44026)

*****

Moi aussi, je possédais un cercle mais je ne l'utilisais pas pour aller à l'école car mes parents habitaient trop près. C'est Mathurin Lemoine (forgeron) qui me l'avait fabriqué.

[André Marsolier (86 ans) le 12 juillet 2023]

AM35 (78490)

1943 ~

Une malle entreposée dans la classe

Pendant la guerre 39-45 des denrées diverses (sucre en morceaux, biscuits …), fournies par la Croix Rouge et destinées à la confection de colis pour les prisonniers, sont entreposées dans la salle de classe des garçons dans une malle appartenant à mes parents. Cette nourriture attire les souris. Ma mère raconte qu’il n’est pas rare qu’un de ses élèves, beaucoup plus intéressé par les souris que par son enseignement, se lève d’un bond pour tuer une souris en la coinçant le long de la plinthe avec sa galoche. Naturellement, d’autres élèves se lèvent à leur tour pour participer à la chasse.

Dans le fond de la malle, il y a de la poudre de sucre que j’ai le droit de manger après l’avoir débarrassée des nombreuses crottes de souris qui s’y trouvent.

[Récit de Maryvonne Louise (84 ans) – 25 mars 2018]

ML33 (75115)

1943 – Lundi 18 octobre

Je vais à l'école pour la première fois le lundi 18 octobre 1943 et j'ai presque sept ans. Mes parents, Alfred et Elise Guibert, habitent à La Veslais en Ercé-en-Lamée mais c'est à La Bosse que je suis scolarisée. Je m'y rends à pied en empruntant le sentier étroit qui longe le Semnon jusqu'au moulin de La Pile.

Lorsque j'arrive à la minoterie de Théophile et Germaine Prunault, Marie-Thérèse (leur fille) se joint à moi et nous marchons sur le bas-côté de la route départementale conduisant à l'école. Bernard et Claude (frères de Marie-Thérèse) prennent le même itinéraire que nous mais eux, ils sont à vélo.

[Yvette Rouyer, née Guibert (85 ans) – le 20 octobre 2022]

YR36 (35012)

1943-1944

Mademoiselle Leroy enseigne à La Bosse vers 1943-1944.

1943-1944

Louise Guy (née Genest le 3 juin 1900 à Quédillac) fait des remplacements à La Bosse vers 1943-1944. Etant titulaire à l’école de Tresbœuf, elle fait le trajet à vélo pour venir enseigner dans la commune voisine et, pendant cette période, ses élèves Tresbourgeois vont dans la classe de son mari Raphaël Guy.

Louise se marie avec Raphaël Guy le 1er septembre 1930 à Rannée. Elle décède le 15 décembre 1985 à Mesnil-le-Roi (Yvelines).

Printemps 1945

Les plumiers de Francis et d'Irène

Pascal Marsollier rentre de la guerre avec deux plumiers en bois qu'il a fabriqué lui-même pour ses enfants durant sa captivité.

Lorsqu'ils arrivent en classe, Irène (sa fille) et Francis (son fils) sortent de leurs cartables, avec fierté et sous les yeux de leurs camarades, ces fameux plumiers qu'ils viennent de recevoir en cadeau des mains de leur père.

[Bernard Aulnette (85 ans) - le 8 juin 2023]

BA38 (35066)

Le plumier d'Irène (MS47)

1945-1946

Jeanne Portugal (1925) enseigne (en tant que remplaçante) en cours préparatoires à La Bosse de la rentrée scolaire 1945 à la mi-mai 1946.

1945-1955

Gaston Rébillard dirige l'école de La Bosse

Gaston Rébillard (né le 8 janvier 1912 à Pleugueneuc), fils de Léon et de Berthe Le Pezron, est directeur (uniquement pour les garçons de 1945 à 1950 et pour les garçons et filles ensuite) et instituteur de l'école de La Bosse de la rentrée scolaire d'octobre 1945 à juillet 1955. Il enseigne les classes cours moyens et fin d'études aux garçons. Il est aussi secrétaire de mairie.

Gaston a obtenu le CAP, épreuve pratique, le 15 novembre 1933 à Meillac où il était instituteur stagiaire.

Entre 1936 et 1945, Gaston avait enseigné à Langon. A la rentrée scolaire de 1955, il est nommé à Cesson-Sévigné.

La dernière sortie scolaire organisée par Gaston Rébillard a lieu au Mont-Saint-Michel, en juillet 1955.

Marie-Joseph Neveu-Lunel, née Saulnier le 2 juin 1885 à La Mouchère en La Bosse, mariée en 1906 avec Joseph Neveu (Mort pour la France le 27 septembre 1916) remariée en 1928 avec Isidore Lunel, a été employée de maison à l'école de La Bosse, d'abord chez Léon Rébillard, ensuite chez Marcel Louise et enfin chez Gaston Rébillard. Lors de son départ en retraite, c'est Madeleine Jouault qui la remplaça chez Gaston.

[Joseph Aulnette]

JA49 (35235)

*****

Gaston Rébillard veillait à ce chaque élève soit continuellement présent à l'école mais, malgré cela, mes parents (Isidore et Clémentine) me gardaient sur la ferme quand ils avaient une surcharge de travail. Un jour, Gaston dit à mon père : « Si tu fais travailler ta fille sur la ferme plutôt que de l’envoyer à l’école, j'avertirai la caisse d'allocations familiales ». À partir de ce moment-là, je n’ai plus jamais manqué les cours.

[Jeannine Jambois, née Lunel (82 ans) – le 10 novembre 2022]

JJ40 (44162)

*****

Quand il y avait un événement important, Monsieur Rébillard apportait son gros poste radio dans la classe et il le faisait écouter à ses élèves. J'ai deux souvenirs en mémoire :

  • L'élection de René Coty à la présidence de la République
  • La mort du loup, un poème d'Alfred de Vigny récité par Pierre Fresnay de la Comédie française

Avant, je n'avais jamais eu l'occasion d'entendre la radio.

[Claude Hervochon (82 ans) le 30 juin 2023]

CH41 (44184)

1945-1953

Hélène Rébillard (née Hongniard le 16 février 1914 à Rennes), épouse de Gaston (dite Madame Rébillard) enseigne les cours élémentaires, moyens et fin d'études à l'école des filles de La Bosse de 1945 à 1950. Durant ces cinq années, elle est directrice de l'école des filles. Ensuite, les classes étant devenues géminées (garçons et filles), elle continue à enseigner (uniquement à l'école des filles) jusqu'en 1953, année à laquelle elle cesse ses fonctions, pour cause de maladie.

Elle a enseigné à Meillac auparavant, en tant qu'institutrice stagiaire. C'est là qu'elle a obtenu le CAP (épreuve pratique) le 21 septembre 1934.

Hélène décède à Cesson-Sévigné le samedi 20 octobre 1956 à l'âge de 42 ans.

*****

J’étais aux obsèques de Madame Rébillard. Je portais une gerbe de fleurs avec Madeleine Aulnette et Annick Mercier.

[Yvette Rouiller, née Chevrel (84 ans) – le 24 septembre 2019]

YR35 (35012)

1946 de la mi-mai au début juillet

Joseph Ferré, né le 27 février 1923 à Thourie, a expérimenté le métier d'instituteur à Crevin pendant un mois avant de partir au service militaire. Il vient d’être libéré lorsqu'à la mi-mai 1946 il arrive à La Bosse de-Bretagne pour enseigner les cours préparatoires et les cours élémentaires de 1ère année. C'est en tant que titulaire qu'il succède à Jeanne Portugal, laquelle a seulement le statut de remplaçante. Joseph ne reste que deux mois à La Bosse, soit jusqu'à la fin de l'année scolaire. À la rentrée suivante, il s'en va à Pancé où il enseigne jusqu'en juillet 1954. Ensuite, il occupe le poste de directeur à l'école de Saint-Germain-sur-Ille pendant seize ans puis, durant les dix dernières années de sa carrière, il dirige l'école Clémenceau de Rennes.

*****

Quand je suis arrivé à l’école de La Bosse, j'étais marié. Mon épouse et moi, nous habitions le logement de fonction situé à l'étage du petit bâtiment, près de la classe de Gaston Rébillard. Ce qui était désagréable c'est que, la cour de récréation n'étant pas goudronnée, les élèves montaient l'escalier avec des chaussures terreuses et il y avait toujours de la poussière dans notre logement.

J'enseignais dans la classe située en bas du grand bâtiment. J'avais des élèves de CP et CE1 bien sages. L'année suivante, à Pancé, j’avais une classe unique avec 16 élèves (CP, CE1, CE2, CM1, CM2 et fin d'études). C'est là que j'ai connu les premiers élèves perturbateurs. Comme certains collègues de l'époque, il m'est arrivé de donner des gifles. Aujourd'hui, ce serait la prison…

Les années qui ont suivi mon départ, Gaston Rébillard, directeur de l’école, m’invitait à la chasse à La Bosse et je l’invitais à la chasse à Pancé. Ensuite, nous avons continué à garder des relations. 

[Propos recueillis près de Joseph Ferré (94 ans) – rencontré à l'EHPAD d'Availles-sur-Seiche  le 27 janvier 2018]

JF23 (35008)

*****

Quand j'étais à La Bosse, après l'école, je faisais l'étude du soir pour les candidats au certificat. Les relations étaient plus faciles que maintenant. Les parents nous faisaient confiance.

Pour nos loisirs du dimanche, J'avais acheté un tandem et avec Georgette, mon épouse, nous allions chez mes parents à Thourie ou chez mes beaux-parents, Gaston et Marie Louis, à la Rigaudière, en le Theil-de-Bretagne. 

[Joseph Ferré (le jour de ses 96 ans) – le 27 février 2019] 

JF23 (35008)

*****

J’ai passé le certificat d’études en juin 1950. Les épreuves avaient lieu à l’école du Sel pour tous les candidats du canton. C’est Monsieur Ferré, instituteur à Pancé, qui avait été désigné pour lire la dictée. Ayant gardé de bonnes relations avec Monsieur Rébillard, il était venu trois ou quatre soirs à La Bosse après ses cours pour faire quelques lectures afin que chaque élève s’habitue à sa prononciation.

Pour résoudre un problème d’arithmétique, je n’avais pas trop de difficulté mais en orthographe, j’avais des lacunes. Au Sel, le jour de l'examen, Monsieur Ferré faisait les cents pas dans la classe en épelant la dictée. Il s’était arrêté un instant près de moi et son regard m'avait rassurée. Je m’étais dit : « Ça doit être bon »

Quelques heures plus tard, j'apprenais que j'étais reçue au certificat !

[Madeleine Tessier, née Aulnette (82 ans) – le 25 septembre 2019]

MT36 (35030)

Vers 1946

Vaccination contre la variole

Une fois par an, un temps de vaccination contre la variole est programmé à l'école. Ça se passe dans le couloir, près de la classe de Madame Rébillard. Louise et Marie (mes sœurs jumelles) sont réticentes. Quand leur tour arrive, voyant que l’infirmier utilise un stylet ressemblant à une plume à encre pour vacciner les élèves qui les précèdent, elles paniquent et prennent la poudre d’escampette. Lorsqu'elles arrivent à la maison, vu que ce vaccin est obligatoire, maman revient à l'école avec elles et cette fois la piqure ne leur échappe pas.

[Andrée Jollive, née Mérel (82 ans) – le 22 décembre 2020]

AJ38 (35231)

1947 Yvette et Alfred Guibert.

Yvette a 10 ans et son frère  ≈ 4 ans. Alfred est scolarisé dans la classe enfantine d'Annick Goualin.

[YR36]

1947-1948

Annick Goualin enseigne à La Bosse vers 1947-1948.

*****

C'est elle qui a posé le bouquet final, annonçant l'achèvement des travaux de gros œuvre, sur le toit de la maison de Victor Tessier située presque en face de l'école.

[Source: Rémy Tessier  (86 ans)  le 6 juillet 2017]

RT30 (35030)

1948 : 1 Rolande Langouët, 2 Madeleine Bougeard, 3 Thérèse Bougeard, 4 Thérèse Mérel, 5 Marie-Jeanne Aulnette, 6 Jeannine Lunel, 7 Marie-Thérèse Lunel, 8 Marcelle Turpin, 9 Marie-Paule Mercier, 10 Maryvonne Texier (institutrice en classe maternelle), 11 Hélène Rébillard (institutrice CP CE1 CE2 CM1 CM2), 12 Yvette Chevrel, 13 Colette Rébillard, 14 Germaine Aulnette, 15 Paulette Prunault, 16 Juliette Prunault, 17 Marie Mérel, 18 Bernadette Maleuvre, 19 Bernadette Justal, 20 Armandine Mérel (dite Louise Mérel), 21 Monique Gendrot, 22 Marie-Louise Turpin, 23 Madeleine Monnier, 24 Marie-Thérèse Prunault, 25 Yvette Guibert, 26 Andrée Mérel, 27 Marie Aulnette, 28 Annick Mercier, 29 Madeleine Aulnette, 30 Jeannine Massicot, 31 Thérèse Prunault.

1948 : 1 Yves Leclère, 2 Claude Leclère, 3 Claude Desbois, 4 Bernard Mérel, 5 Alfred Guibert, 6 Henri Lunel, 7 Gaston Rébillard (instituteur), 8 Claude Tessier, 9 Michel Desbois, 10 Georges Colliot, 11 Claude Hervochon, 12 Hubert Langouet, 13 Joseph Leclère, 14 Claude Maleuvre, 15 Bernard Marsolier, 16 René Aulnette, 17 Gustave Maleuvre, 18 Bernard Louvel, 19 Rémy Maleuvre, 20 Robert Drouin, 21 Jean-Marie Chevrel, 22 Bernard Aulnette, 23 Robert Lunel, 24 Jean Hamon, 25 Elie Péan, 26 Gabriel Turpin, 27 Auguste Giboire, 28 Jacques Maleuvre, 29 Elie Aulnette, 30 André Marsolier, 31 Francis Marsollier, 32 René Hamon, 33 Camille Lunel, 34 Gilbert Massicot, 35 Antoine Rouiller, 36 Gustave Lemoine, 37 Joseph Gaudin, 38 Henri Hamon.

*****

En fin d’année scolaire, Gaston Rébillard à l'habitude d'emmener ses élèves passer une après-midi de détente au bois de la Ringuais. Nous y allons à pied. Joseph Ferré, directeur de l’école publique de Pancé (ancien maître d’école de La Bosse et ami de Gaston) fait à peu près la même distance avec ses élèves pour nous rejoindre. Nous pratiquons des jeux en commun.

Un jour, il nous emmène au tertre Gris mais comme nous devons marcher davantage, nous partons le matin et pique-niquons sur place.

[Claude Tessier (81 ans) – le 8 avril 2020]

CT38 (35012)

1948 

Je commence l’école à 7 ans. Léone Masson m'accompagne à pied par un chemin creux qui est souvent boueux. J’ai des bottes en caoutchouc et mes pieds sont enveloppés dans des chaussettes russes (des vieux chiffons). En arrivant au bourg, je m'arrête chez Alexandre et Hélène Drouin et je laisse mes bottes pour mettre des chaussures et des chaussettes propres que je prends dans ma musette.  J’ai aussi une gamelle contenant le repas du midi que je mange chez Marie Massicot mais avant de passer à table, je dois réciter une prière. Plus tard, c’est dans l’échoppe du père Chapon, cordonnier, que je prends mes repas du midi.

[Claude Hervochon (76 ans) – le 30 novembre 2017]

CH41 (44184)

1948-1949

Maryvonne Texier (née le 19 août 1928 à Rennes) enseigne dans la classe maternelle (filles et garçons) en 1948, 1949 et peut-être 1950. Ensuite, elle s'en va à Goven.

Maryvonne s'est mariée à Rennes avec Yves Chapron le 31 juillet 1952.

Elle est décédée à Arzon (56) le 29 août 2014 à l'âge de 86 ans.

Année scolaire 1948-1949

Claude Hervochon

Maryvonne Texier décerne un prix d'Honneur à Claude Hervochon

1950-1953

Mademoiselle Fauvel (originaire de Saint-Sulpice-des-Landes) enseigne en classe maternelle et cours préparatoire à La Bosse d'environ 1950 à 1953. Sa classe est à l'étage.

Juin 1951 (dans la cour de l'école, les élèves présentés au certificat d'étude primaire) : 1 André Marsolier, 2 Madeleine Masson, 3 Germaine Aulnette, 4 Marie-Louise Turpin, 5 Gaston Rébillard (instituteur), 6 Marie-Thérèse Prunault.

Juin 1951 (dans la cour de l'école, les élèves présentés au certificat d'étude primaire) : 1 André Marsolier, 2 Madeleine Masson, 3 Germaine Aulnette, 4 Hélène Rébillard (institutrice), 5 Marie-Louise Turpin, 6 Marie-Thérèse Prunault.

1952 – juin

Je suis admise au certificat d’études en juin 1952, à l’âge normal (14 ans). Madame Rébillard avait fait des démarches pour que je le passe l’année dernière mais sa demande fût refusée.

[Andrée Jollive, née Mérel (82 ans) – le 21 décembre 2020]

AJ38 (35231)

1953 – fin juin

Cent pour cent de reçus au certificat d’études

En fin d’année scolaire 1952-1953, Gaston Rébillard (mon instituteur) décide de ne présenter que Rolande Langouët de La Haute-Bosse au certificat d’études car il veut que la réussite à l’examen soit garantie. Eugène Masson (mon père d’adoption) considère que je dois, moi aussi, pouvoir tenter ma chance – Pour Monsieur Rébillard, je passe peut-être trop de temps à jouer aux canettes (aux billes) – Eugène, accompagné de Marcel Douessin (son gendre), va le rencontrer dans sa classe. Il menace de me transférer à l’école privée du Sel. La discussion n’est pas sans intérêt car, au final, nous sommes quatre à être présentés au certificat : Rolande Langouët (la surdouée), Marcelle Turpin, Auguste Giboire et moi-même.

L’examen a lieu au Sel (commune chef-lieu de canton). C’est Joseph Ferré, directeur de l’école publique de Pancé, ancien instituteur de La Bosse et ami de Gaston Rébillard, qui surveille notre travail. Il fait les cents pas dans la classe et, lorsqu'il arrive près de moi, j’ai deux solutions pour un problème. Ne sachant pas laquelle est la bonne, je laisse mon doigt posé sur celle qui me paraît la plus judicieuse. Monsieur Ferré hoche de la tête et me fait un petit clin d’œil. Immédiatement, j'analyse que je fais le bon choix.

Le soir même, à l’annonce des résultats, sur les quatre candidats présentés par Gaston Rébillard, il y a quatre reçus. Lorsqu’il nous ramène à La Bosse avec sa Traction, son regard laisse apparaître une certaine fierté.

[Germain Hervochon (80 ans) – le 13 janvier 2020]

GH39 (35136)

1953-1954

Mathurine de Lanessan (née Mathurine Le Fouest) enseigne en classe des petits et cours préparatoire à La Bosse durant l'année scolaire 1953-1954. Sa classe est au rez-de-chaussée.

Mathurine est née à Crozon le 16 septembre 1906. Elle s'est mariée avec Albert de Lanessan à Tananarive le 14 octobre 1950 et elle est décédée à l'âge de 83 ans à Rennes le 12 avril 1990

Année scolaire 1953-1954 : 1 Marcel Giboire, 2 Claude Belloir, 3 Jean-Claude Lunel, 4 Jean-Claude Aulnette, 5 Christian Gilbert, 6 Alain Messu, 7 Jean-Yves Aulnette, 8 Joël Desbois, 9 André Maleuvre, 10 René Aulnette, 11 Bernard Aulnette, 12 Michel Jardin, 13 Jean-Guy Aulnette, 14 Gérard Rébillard, 15 Michel Drouin, 16 Marie Aulnette, 17 Rolande Deroche, 18 Thérèse Giboire, 19 Aline Massicot, 20 Camille Rouiller, 21 Marie-Thérèse Lunel, 22 Rolande Brochard, 23 Yolande Leclère, 24 Jean-Pierre Hervochon, 25 Bernard Guiheux, 26 Nicole Douessin, 27 Mathurine de Lanessan (institutrice).

Année scolaire 1954-1955 : 1 Alain Messu, 2 Michel Jardin, 3 Yves Paris, 4 Gérard Rébillard, 5 Jean-Guy Aulnette, 6 Michel Drouin, 7 René Aulnette, 8 Liliane Prunault, 9 Michelle Marsollier, 10 Rolande Brochard, 11 Aline Massicot, 12 Thérèse Giboire, 13 Yolande Leclère, 14 Marie-Hélène Lunel, 15 Rolande Deroche, 16 Bernard Aulnette.

1954-1955

André Mellet, né le 13 mai 1932 à Rennes, enseigne les cours de CE1 et CE2 à La Bosse de la rentrée 1954, probablement du lundi 4 octobre à la mi-avril 1955. Ensuite, il est remplacé par un suppléant jusqu'à la fin de l'année scolaire et par Marie-Thérèse Leheup à la rentrée suivante.

André entre sous les drapeaux le 15 avril 1955 et, au retour de son service militaire en octobre 1957, il part enseigner à Saint-Erblon où il reste jusqu'à sa retraite.

*****

Témoignage rédigé par André Mellet, lui-même, six décennies plus tard :

Originaire de Rennes, j’ai été normalien de la promotion 1949-1953. Après une année de stages dans plusieurs écoles de Rennes, j’ai été nommé à l’école de La Bosse pour la rentrée d’octobre 1954. Le directeur, Monsieur Gaston Rébillard, avait deux postes vacants. Ayant un seul logement, il avait demandé la nomination de deux filles ou de deux garçons qui auraient pu cohabiter. Mystère de l’Administration, une normalienne (Mademoiselle Pleinfossé) et un normalien (moi-même), furent nommés. Ma collègue prit le logement et je partis à la recherche d’une chambre. Nous aurions pu cohabiter mais c’eut été un scandale. Une habitante me proposa une pension complète dont le prix couvrait tout juste mon traitement. En désespoir de cause, j’atterris chez Madame Perrudin, au café-tabac. Contre l’indemnité communale de logement des instits, elle me proposa un grenier sous ardoises avec, à pendre aux poutres, aulx, échalotes et oignons et à sécher au sol, des plantes médicamenteuses : bourdaine, queues de cerises, camomille… et des souris dont, malgré les tapettes, je ne vins jamais à bout. Le soir, dès la lumière éteinte, j’entendais la danse sur le parquet. Le grenier n’était pas meublé, hormis une armoire « homme debout », qui attendait un brocanteur.

Pour le strict nécessaire, mon père, ayant récupéré des planches sur son lieu de travail, vint me fabriquer un mobilier « Chocolat Menier » table, banc, carré sommier pour poser mon matelas pneumatique et m’isoler un peu des souris… en plus, quelques éléments de vaisselle, un réchaud de camping à gaz… Pas de chauffage bien entendu (pourtant l’hiver 54-55 fut bien rigoureux). Je ne disposais ni de WC, ni de point d’eau. L’école, à peu de distance heureusement, me dépanna. Je fis l’acquisition d’un broc à eau qui m’accompagnait lors de mes trajets grenier – école et retour puis, pour les cas de nécessité absolue, d’un seau hygiénique que je vidais comme toute la maisonnée sur un tas de détritus divers, entre le commerce et l’église.

Entre jeunes enseignants voisins (Pancé, Poligné, Ercé, Tresbœuf…), nous organisions quelques soirées. Madame Perrudin était une bonne personne, très peu causante, qui refusa toujours de me confier une clé. Donc, dès 20 heures, au grenier où dehors ! Ma classe, alors, me servait de logis : l’estrade, une couverture et à vingt ans on dort partout.

Lors de mon séjour, Madame Perrudin recueillit sa sœur, malade mentale. Elle ne put jamais admettre ma présence, me prenant pour un espion allemand. Elle ne m’adressa jamais la parole mais, lors de nos rares rencontres, elle me lançait des regards effrayants accompagnés de sinistres grincements de dents. Finalement, elle fut internée.

Venons au plus important : l’école. Elle était mixte, rare pour l’école et comptait trois classes : cours préparatoire (Yvette Pleinfossé), cours élémentaires 1 et 2 (moi-même) et la classe du directeur avec plusieurs niveaux : cours moyens 1 et 2, cours de fin d’études 1 et 2. En principe, les élèves restaient dans cette classe quatre ans. Monsieur Rébillard comptait un lourd effectif qu’il dirigeait avec une autorité bienveillante. Les bâtiments et le mobilier étaient vétustes mais corrects. Pas ou très peu de matériel pédagogique : tableaux éducatifs, manuels, duplicateur (pas même de pierre magique). La commune, assez pauvre, n’avait guère de moyens et peut-être ne considérait pas l’école comme une priorité. Mais chaque classe disposait de ces fameux poêles à bois, très efficaces du fait aussi de ce long tuyau qui traversait la classe. L’allumage et le nettoyage incombait à l’instit. Le bois était, aux récréations, fendu et rangé au sec par Monsieur Rébillard. J’entends, encore, le bruit de son merlin frappant le coin éclateur. Les enfants qui, pour certains, avaient affronté un assez long chemin par tous les temps, se séchaient et se réchauffaient rapidement. Bien sûr, le casse-croûte remplaçait la cantine. Parmi les tâches du maître, le balayage de la classe était dans ses attributions. Ma classe comptait une vingtaine d’élèves dont j’ai gardé un bon souvenir. Ils étaient dans l’ensemble d’un bon niveau, travail remarquable de Madame Rébillard qui malgré sa santé précaire leur avait enseigné, avec succès, l’apprentissage de la lecture. Le maintien de la discipline, de l’attention, du travail propre, ne posait guère de problèmes. Ceci me changeait de l’ambiance des classes de certains faubourgs rennais où le maître, pour établir un certain ordre, n’hésitait pas à recourir à de sévères châtiments corporels. Les contacts, avec les familles, étaient rares mais toujours empreints de confiance.

Le ravitaillement à La Bosse était assez difficile (conserves chez Chapon). Je ramenais aussi des provisions de Rennes. Parfois, mon directeur, Gaston Rébillard, fin fusil dans une région giboyeuse, me faisait cadeau d’un petit garenne. Le prêtre de la commune, l’abbé Louazel, avec qui j’avais noué d’excellentes relations, partageait avec moi quelques « fricassées » parvenant de ses paroissiens qui avaient tué le cochon. Le frère du directeur, Joseph Rébillard, tueur dans les fermes, transformait le cochon en lard, côtelettes, charcuterie. À ce moment, j’ai pris goût du vrai gros pâté traditionnel. L’abbé Louazel m’a invité plusieurs fois pour déguster d’excellent boudin-purée.

Je connaissais, à Rennes, une jeune fille qui devint en 1956 mon épouse. De ce fait, je retournais à Rennes le jeudi et le dimanche, d’abord à vélo… le vélo de mon grand-père, sans éclairage, sans freinage, sans dérailleur bien sûr. C’était un modèle du tout début du siècle, sans roue libre mais avec deux pignons fixes qui permettaient de disposer, en démontant et en faisant pivoter la roue de 180°, de deux développements. Pour s’arrêter, il fallait bloquer le pédalier et/ou pratiquer le rétro pédalage, manœuvre risquée. Bien vite, j’abandonnai le vélo pour une mobylette acquise à crédit de même que le poste TSF qui meubla un peu mes longues soirées. La mobylette calaminait rapidement. Heureusement, près de l’école, un garagiste cycles était installé. Un jour, l’abbé Louazel me prêta sa moto 125 cm3 pour aller à Rennes.

En décembre 1954, l’inspecteur est venu de Redon, à vélo, pour me faire passer le certificat d’aptitude pédagogique. Un peu plus tard, il est repassé, toujours à vélo, et il a fait étape dans ma classe pour déjeuner.

[André Mellet (85 ans) – le 10 janvier 2018]

AM32 (35266)

*****

Je suis arrivée comme enseignante à La Bosse en même temps qu'André Mellet. Je ne me souviens pas que l'hiver 1954-1955 était rigoureux et, comme lui, j'allumais le poêle tous les matins avec du bois que je prenais sous l'escalier. Il en a été ainsi pendant mes cinq hivers passés à La Bosse. J'enseignais au rez-de-Chaussée du petit bâtiment et j'habitais à l'étage. J'avais la chance d'avoir l'eau du robinet à l'évier de la cuisine. Plus tard, on m'a installé un chauffe-eau. Les WC étaient au fond de la cour et sans chasse d'eau, mais à l'époque c'était normal.

L'inspecteur qui venait à vélo de Redon pour contrôler les classes était Monsieur Chabot.

Au cours de mon 1er hiver passé à La Bosse, je suis allée plusieurs fois avec André Mellet chercher des feuilles de choux verts pour le repas du soir, dans un champ situé en haut du bourg.

[Yvette Gosselet, connue sous le nom de Mademoiselle Pleinfossé (87 ans) – le 27 août 2019]

 YG32 (35130)

*****

Mon mari et moi, nous avons aussi connu une période sans eau potable lorsque nous sommes arrivés à l'école de La Bosse à la rentrée de 1955. Nous ne pouvions pas utiliser l'eau du robinet car elle provenait du puits situé dans la cour et elle était contaminée par les toilettes qui étaient à proximité. Nous allions nous ravitailler chez Théophile et Colette Prunault. Ils habitaient de l'autre côté de la route, face de l'école.

Nous avions deux pièces au rez-de-chaussée avec un plancher à grosses lattes plus ou moins espacées et dans la cave en dessous, il y avait des souris et des chauves-souris.

[Marie-Thérèse Leheup (89 ans) - le 10 septembre 2019]

MTL29 (35238)

*****

Un autre souvenir me revient : Les premières années que nous étions à La Bosse, Théodore Lunel sortait de sa ferme avec ses chevaux attelés sur une charrette (ou autres outils agricoles) au ras du pignon de la classe des petits. Plus tard, il a acheté un tracteur et son matériel est devenu plus encombrant. Il a creusé au pied du mur pour élargir le passage et un éboulement a eu lieu. L'ingénieur des Ponts-et-Chaussées est venu sur place. Pour empêcher que la situation ne s'aggrave, il a exigé qu'un "X" en fer forgé soit posé en haut du pignon.

[Marie-Thérèse Leheup (89 ans) le 4 octobre 2019]

MTL29 (35238)

1954-1959

Yvette Pleinfossé (née le 21 juin 1932) dite Mlle Pleinfossé, arrive à La Bosse à la rentrée 1954, probablement le lundi 4 octobre. C'est son 1er poste. Elle enseigne en classe maternelle et cours préparatoire, au rez-de-chaussée, jusqu'en juillet 1959. Elle se marie avec Luc Gosselet le 13 juillet 1959 à La Bosse et au mois de septembre suivant Yvette Gosselet (et non plus Yvette Pleinfossé) s'en va à Teillay où elle reste durant huit années. En 1967, elle regagne Hédé, sa commune d'origine et c'est là qu'elle termine sa carrière d'enseignante.

*****

Mademoiselle Pleinfossé commence à enseigner à La Bosse à l'âge de 22 ans et c'est son premier poste. C'est aussi ce jour-là que je vais à l'école pour la première fois.

Yvette est revenue à La Bosse le samedi 22 septembre 2007 à 11h00 et elle a rencontré trente-cinq anciens élèves. Ensuite elle avait rendez-vous avec des anciens élèves de Teillay.

Pour fêter ses retrouvailles, cinquante-sept personnes de La Bosse et vingt-neuf de Teillay, élèves et conjoint(e)s compris, l'ont accompagnée autour d'un bon repas servi à 13h00 à la salle communale de Teillay (voir photos en bas de cette rubrique).

JA49 (35235)

Année scolaire 1954-1955 : 1 Jean-Pierre Hervochon, 2 Alfred Guibert, 3 Bernard Guiheux, 4 Antoine Gaudin, 5 Jean-Claude Jardin, 6 Etienne Deroche, 7 Claude Desbois, 8 Camille Rouiller, 9 Nicole Douessin, 10 Claudine Rébillard, 11 Danielle Maleuvre, 12 Geneviève Prunault, 13 Marie-Jeanne Aulnette, 14 Georges Colliot, 15 Yves Leclère, 16 Claude Hervochon, 17 Michel Desbois, 18 Claude Leclère, 19 Gaston Rébillard (instituteur).

Année scolaire 1954-1955 ~ : 1 Yvon Desbois, 2 Claude Belloir, 3 Guy Belloir, 4 André Giboire, 5 Jean-Claude Lunel, 6 Gérard Aulnette, 7 Christian Gilbert, 8 Jean-Yves Aulnette, 9 Jean-Claude Aulnette, 10 Louis Colliot, 11 Joël Desbois, 12 André Maleuvre, 13 Joseph Aulnette, 14 Marcel Giboire, 15 Daniel Giboire, 16 Bernard Chapon, 17 Thérèse Aulnette, 18 Germaine Douessin, 19 Danielle Grandhomme, 20 Marie-Jeanne Dumast, 21 Marie-Louise Giboire, 22 Paulette Legendre, 23 Marie Aulnette, 24 Germaine Douessin, 25 Thérèse Hurel, 26 Monique Douessin, 27 Nicole Gilbert, 28 Arlette Deroche, 29 Christiane Brochard.

*****

À la fin de l'année scolaire 1954-1955 qui pour moi est ma première année d'école, Gaston Rébillard (le directeur) organise sa dernière sortie scolaire avec les élèves de La Bosse. Nous allons au Mont Saint-Michel et c'est ce jour-là que je vois la mer pour la première fois. 

Le soir, lorsque nous revenons devant l'école, mon oncle Eugène Aulnette est présent. Au moment où je descends de l'autocar il me dit : « Tu as vu la mer ! Eh ben t'en as de la chance ». Âgé de 44 ans, il avait vécu six années en Allemagne en tant que prisonnier mais la mer... il ne l'avait jamais vue.

[Joseph Aulnette (73 ans) – le 9 janvier 2023]

JA49 (35235)

*****

Peu avant d'arriver au Mont Saint-Michel, en traversant le centre-ville de Pontorson, Madame Rébillard (institutrice et épouse du directeur) s'adresse à l'ensemble des élèves : « Regardez les feux tricolores au carrefour, ils remplacent les agents de ville ! » Là aussi, il s'agit de quelque chose de nouveau.

[Alfred Guibert (79 ans) – le 9 janvier 2023]

AG43 (35275)

*****

C'était ma dernière année scolaire et, pour moi aussi, c'était la première fois que je voyais la mer. Je me souviens être allé dans l'eau mais je suis très vite ressorti car les vagues défilaient sous mes pieds et ça me faisait perdre l'équilibre.

[Claude Hervochon (79 ans) – le 4 mars 2023]

CH41 (44184)

____________________________________________________________________________________

1955 ~ Marie-Louise Giboire (MLL49]

____________________________________________________________________________________

1955

Claude Hervochon obtient un prix de 450 francs lors du concours "La plus belle vie" organisé par  la Société Nationale d'Encouragement au Bien pour avoir écrit un texte sur une personne méritante de son entourage.

Claude a fait un énoncé sur le dévouement d'Adèle Dehoux, née Chevalier

***

Adèle avait un fils surnommé Lardoux. Elle demeurait dans la maison où habite actuellement Claude et Annick Maleuvre 1 rue de l'école face à celle de ma grand-mère Hervochon, née Rosalie Bouchard.

Grand-mère me parlait souvent d'Adèle en évoquant son dévouement envers les autres. Je crois me rappeler qu'elle allait aider et accompagner les familles à la toilette de leurs défunts, les gens de nos campagnes ne faisant pas appel aux pompes funèbres à cette époque.

[Claude Hervochon (82 ans) – le 24 août 2023]

CH41 (44184) 

***

(1) Le surnommé Pierre Lardoux se prénommait et de nommait en réalité Joseph Dehoux. Fils de François Dehoux (cultivateur) et d'Adèle Chevalier (ménagère), il est né au bourg de La Bosse le 7 juin 1921.

JA49 (35235)

____________________________________________________________________________________

Année 1955-1956 et suivantes

Je vais à l’école à pied

Les premières années de ma scolarité, je vais à l’école à pied par tous les temps. Je parcours deux kilomètres pour y parvenir. Quand les semelles de mes chaussures sont usées, c’est Papa qui assure la réparation, non pas avec des maillettes comme ça se fait couramment mais avec des morceaux de caoutchouc qu’il découpe dans des vieux pneus que Francis Rouyer (son neveu) récupère à la carrière Mont-Serrat de Pléchâtel.

Il fait le travail minutieusement avec son couteau qu'il a toujours sur lui et qui est bien affûté. 

[Robert Aulnette (73 ans) – le 13 juin 2023]

RA50 (35076)

1955-1972 de septembre 1955 à juillet 1972

Monsieur Leheup a vingt-cinq ans lorsqu'il remplace Gaston Rébillard à la direction de l'école de La Bosse en septembre 1955. Il enseigne les niveaux CM1, CM2 et fin d'études. Auparavant, il était instituteur à Vieux-Vy-sur-Couesnon.

En septembre 1972, il est nommé directeur de l'école Albert de Mun, à Rennes et il y restera jusqu'au jour où il fera valoir ses droits à la retraite. Pendant les dix-sept années où il a dirigé et enseigné à La Bosse, il aussi assuré les fonctions de secrétaire de mairie.

Michel Leheup a organisé sa première sortie scolaire en juin 1956 à Damgan. J'y étais en tant qu'élève en CE1 et ma mère faisait partie du groupe qui accompagnait. Il a organisé sa dernière sortie le 30 juin 1972, destination Saint-Nazaire, La Baule, le Croisic. J'y étais aussi mais cette fois, en tant que conducteur d'un autocar des Transports Perrin de Coësmes.

[Joseph Aulnette]

JA49 (35235)

1955-1972

Marie-Thérèse Leheup (née Marie-Thérèse Lamidon à Lamballe le 20 novembre 1929), dite Madame Leheup, épouse de Michel, enseigne aux élèves de CE1 et CE2 à l'école de La Bosse de septembre 1955 à juillet 1972. Sa classe se situe à l'étage.

Marie-Thérèse Leheup est arrivée à La Bosse à l'âge de 25 ans. Avant elle était remplaçante à l'école de Vieux-Vy-sur-Couesnon. Lorsqu'elle a quitté La Bosse, elle est allée enseigner à l'école Albert de Mun, à Rennes.

Elle est décédée à Rennes à l'âge de 92 ans le 18 juin 2022.

*****

Chaque année, à la fin du mois de novembre, Madame Leheup proposait à ses élèves d'accompagner leurs parents à la foire Saint-Martin de Bain. Ceux qui étaient intéressés pouvaient s'y rendre sur le temps scolaire.

[Robert Aulnette (73 ans) – le 13 juin 2023]

RA50 (35076)

1955 septembre 

Michel et Marie-Thérèse Leheup, peu après leur arrivée à La Bosse

1955 – Septembre

Mes débuts à l'école de La Bosse

M. et Mme Leheup sont arrivés à l’école à La Bosse pour la rentrée scolaire de septembre 1955 et moi aussi. J’avais 7 ans et demi. L’année précédente, c’est à l’école privée de Tresbœuf que j’étais scolarisé car, le jour de la rentrée des classes 1954, mon père était encore dans sa ferme, à La Beltière, là où je suis né. Quinze jours plus tard, à la Saint-Michel, il cessait d’exploiter. Il avait deux enfants à charge, mon frère Lucien et moi-même. Notre mère était décédée au mois d’avril précédent et il ne se voyait pas continuer à travailler seul sur son exploitation. Il s’est retrouvé avec le statut de journalier agricole.

La vente des bêtes et du matériel eu lieu dans le corps de ferme que nous avons dû quitter ensuite pour venir habiter à La Bosse, au lieudit La Bellandière. Je suis allé à pied à l’école à Tresboeuf jusqu’à la fin de l’année scolaire et, Lucien débutant sa scolarité à la rentrée de 1955, notre père préféra nous envoyer à l’école à La Bosse. Le trajet se trouvait ainsi réduit de moitié.

À l'école de La Bosse, il n'y avait pas de cantine et le midi Papa ne pouvait pas s'occuper de nous. Il a dû frapper à de nombreuses portes dans le bourg avant de nous trouver quelqu'un qui puisse nous recevoir pour le repas. Georgette Maleuvre, qui chaque midi accueillait déjà Danielle Grandhomme des Bignons, a accepté de nous recevoir à sa table. Aujourd'hui encore, je garde très bon souvenir de cette brave dame qui nous a vraiment bien accueillis.

Lorsque je suis arrivé dans la classe des CE1, Madame Leheup, l'institutrice, m'a donné des livres neufs en m’indiquant qu’il fallait les faire couvrir. Je lui ai dit que je n’avais plus de maman et, sans doute par pitié, elle me les a repris sans dire le moindre mot. Quand je suis revenu le lendemain matin, les livres étaient posés sur la table, à ma place, et ils étaient couverts....

[Félix Pairin, dit Albert (69 ans) – le 15 novembre 2017]

FP48 AP48 (35012)

*****

Pour élever ses deux enfants, Pierre Pairin était employé en tant que journalier dans des fermes du secteur dont deux d'entre elles étaient à sa porte. À la Bellandière, il travaillait chez mes parents, Jean et Maria Savouré. Il allait aussi chez les voisins, Marcel et X Legendre.

[Claude Savouré (81 ans) – le 27 janvier 2020]

CS38 (35335)

1955-1956

Les migraines me taquinent inlassablement

Je suis en moyenne section dans la classe de Mademoiselle Pleinfossé et j'ai fréquemment des migraines. Un jour, en milieu d’après-midi, je suis tellement mal en point que je ne peux plus suivre les cours. S'apercevant que je ne suis pas bien, la maîtresse s’approche de moi et me dit : « Joseph, ça n’a pas l’air d’aller. Veux-tu que je te reconduise chez tes parents ? » J’accepte de bon gré.

Mademoiselle Pleinfossé demande à une élève (elle préfère une fille à un garçon) de surveiller la classe le temps de son absence. Elle s'installe aux commandes de son solex après m'avoir posé sur le porte-bagage non équipé de siège enfant. Le casque n'existe pas et je ne suis pas attaché.

Je m'agrippe à la selle du solex et nous prenons la direction de La Touche. En arrivant devant la maison de mes parents, Yvette (c’est son prénom) frappe à la porte de la cuisine mais personne ne répond. Elle demande à Tante Elise qui habite tout près. Elle ne sait pas où sont mes parents. Ma maîtresse s'adresse à Marie-Ange (une autre voisine) qui n’en sait pas davantage. Finalement c’est Clarisse, domiciliée à l’entrée du village, qui la renseigne en précisant que Théophile et Anna sont dans la Cochonière, un champ situé à sept cents mètres. Yvette décide de m’y emmener mais sans son solex cette fois car, pour s'y rendre, il faut emprunter un chemin creux et boueux. C'est à pied que nous y parvenons. Papa et Maman me récupère puis ils remercient mon institutrice qui n’a plus qu’à rebrousser chemin jusqu'à La Touche avant de remonter sur son solex et de regagner sa classe. Arrivée à l'école, elle interroge la fille à qui elle a confié la garde de ses élèves et elle apprend que tout son petit monde a été sage durant son absence qui a duré environ trois quarts d'heure.

Maintenant, la maîtresse peut reprendre ses cours mais sans moi.

[Joseph Aulnette (74 ans) – le 11 août 2023]

JA49 (35235)

Année scolaire 1957-1958 ~ : 1 Jean-Yves Aulnette, 2 Bernard Aulnette, 3 Albert Pairin, 4 Jean-Pierre Hervochon, 5 René Aulnette, 6 Gérard Rébillard, 7 Jean-Guy Aulnette, 8 Michel Drouin, 9 Jean-Claude Aulnette, 10 Marie-Thérèse Lunel, 11 Rolande Brochard, 12 Yolande Leclère, 13 Camille Rouiller, 14 Michelle Marsollier, 15 Thérèse Giboire, 16 Aline Massicot, 17 Marie-Hélène Lunel, 18 Rolande Deroche.

Année scolaire 1957-1958 ~ : 1 Joseph Aulnette, 2 Marcel Giboire, 3 Bernard Chapon, 4 Jean-Claude Lunel, 5 Robert Aulnette, 6 André Giboire, 7 Guy Belloir, 8 Claude Belloir, 9 Lucien Pairin, 10 Daniel Giboire, 11 Joël Desbois, 12 André Maleuvre, 13 Louis Colliot, 14 Bernard Dumast, 15 Yvon Desbois, 16 Gérard Aulnette, 17 Annette Prunault, 18 Paulette Legendre, 19 Thérèse Aulnette, 20 Marie Aulnette, 21 Thérèse Hurel, 22 Germaine Douessin, 23 Marie-Hélène Douessin, 24 Danielle Grandhomme, 25 Arlette Deroche, 26 Marie-Paule Hervochon, 27 Marie-Louise Giboire.

1957-1958 ~ : 1 André Belloir, 2 Paul Aulnette, 3 Bernard Deroche, 4 Roland Giboire, 5 Marc Chevrel, 6 André Lemoine, 7 Alain Chapon, 8 Marcel Justal, 9 Françoise Guiheux, 10 Christiane Brochard, 11 Marie-Madeleine Héry, 12 Maryvonne Leclère, 13 Alain Leray, 14 Alain Douessin, 15 Yves Péan, 16 Jean-Yves Ridard, 17 Michel Hervochon, 18 Jojo Fraudin, 19 Marie-Madeleine Ridard, 20 xxxx, 21 Marcelle Douessin, 22 Eliane Belloir, 23 Christiane Giboire, 24 Maryvonne Deshoux, 25 Colette Douessin, 26 Nicole Gilbert, 27 Paulette Héry, 28 Maryvonne Chevrel, 29 Maryvonne Aulnette, 30 Marie-Thérèse Brochard.

*****

J'ai six ans et je suis à l'école dans la classe de Mademoiselle Pleinfossé. je passe beaucoup de temps à jouer avec de la pâte à modeler.

Un jour de l'année scolaire 1957-1958, dans la petite cour de récréation, Rolande Brochard et Thérèse Hurel (deux cousines, élèves de Madame Leheup) s'approchent de moi. Elles me prennent dans leurs bras puis elles vont s'asseoir sur le rebord de la fenêtre de ma classe. Je suis tantôt sur les genoux de Rolande, tantôt sur ceux de Thérèse. Chacune à leur tour, elles me racontent des histoires qui me passionnent.

[Jean-Yves Ridard (71 ans) – le 6 août 2023]

JYR51 (35343)

1958 

Tartarin de Tarascon

L’école bénéficie du passage d’un bibliobus et chacun peut emprunter des ouvrages. Je suis en CM1, assis à côté d’Yves Paris qui est en fin d’études, dans la classe de Monsieur Leheup, lorsque ce dernier s’aperçoit qu’il a perdu la trace d’un livre intitulé "Tartarin de Tarascon". Il interroge ses élèves afin de savoir qui l’a emprunté. Je lève la main et, au moment où Monsieur Leheup me donne la parole, j’affirme : « Ce n’est pas moi. Je l’ai eu mais je l’ai rendu ». Que n’avais-je pas dit. Il hausse le ton en insistant : « Ce n’est pas la réponse que j’attends, je veux le nom de l’élève ayant le livre en sa possession … » Personne ne bronche. Les semaines passent sans que la question ne soit reposée…

Et voilà que, environ deux mois plus tard, alors que l’affaire semblait classée, je déniche ce fameux livre au domicile de mes parents. Il est rangé avec d’autres affaires d’école. J’étais certain de l’avoir rendu et il est toujours là. Me voilà bien embarrassé car le maître est sévère et je le crains. Ne voyant pas par quel moyen je peux restituer Tartarin sans me faire rouspéter, je décide de le détruire. Je le brûle dans la cheminée en profitant d’un moment où je suis seul à la maison…

… Le 28 septembre 2017, je me rends chez Monsieur Leheup au 21 avenue Aristide Briand à Rennes. Je lui annonce que l’élève qui n’avait pas rendu Tartarin de Tarascon en 1958, c’était moi. Au lieu du sermon que j’aurai sûrement eu il y a presque 60 ans, j’ai droit à un sourire !

[Joseph Aulnette – le 11 décembre 2017]

JA49 (35235)

Année scolaire 1958-1959 ~ : 1 Joseph Aulnette, 2 Albert Pairin, 3 Jean-Claude Aulnette, 4 André Maleuvre, 5 Michel Drouin, 6 Christian Gilbert, 7 Jean-Yves Aulnette, 8 Jean-Guy Aulnette, 9 Bernard Aulnette, 10 Joël Desbois, 11 Claude Belloir, 12 Yves Paris, 13 Danielle Grandhomme, 14 Rolande Deroche, 15 Marie Aulnette, 16 Marie-Hélène Lunel, 17 Rolande Brochard, 18 Yolande Leclère, 19 Michelle Marsollier, 20 Germaine Douessin, 21 Thérèse Giboire, 22 Aline Massicot, 23 Liliane Prunault, 24 Marie-Thérèse Lunel, 25 René Aulnette.

Année 1958-1959 ~ : 1 Yves Prunault, 2 Jojo Fraudin, 3 Bernard Deroche, 4 Marc Chevrel, 5 André Lemoine, 6 Alain Douessin, 7 Bernard Giboire, 8 Roland Giboire, 9 Marcel Justal, 10 Maurice Legendre, 11 Bernard Deshoux, 12 Paul Aulnette, 13 Alain Chapon, 14 Yves Péan, 15 Marie-Thérèse Brochard, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 Maryvonne Leclère, 19 Maryvonne Chevrel, 20 Colette Chevrel, 21 xxxx, 22 Colette Douessin, 23 xxxx, 24 Françoise Guiheux, 25 Maryvonne Aulnette, 26 xxxx, 27 Annette Nourisson, 28 Marie-Madeleine Ridard, 29 Christiane Giboire.

Année scolaire 1958-1959 : 1 Lucien Pairin, 2 Louis Colliot, 3 Michel Hervochon, 4 Guy Belloir, 5 Bernard Dumast, 6 André Giboire, 7 Jean-Yves Ridard, 8 André Belloir, 9 Robert Aulnette, 10 Marcel Giboire, 11 Jean-Claude Lunel, 12 Gérard Aulnette, 13 Yvon Desbois, 14 Daniel Giboire, 15 Paulette Héry, 16 Maryvonne Deshoux, 17 Paulette Legendre, 18 Marie-Louise Giboire, 19 Annette Prunault, 20 Marie-Paule Hervochon, 21 Nicole Gilbert, 22 Thérèse Hurel, 23 xxxx, 24 Marie-Hélène Douessin, 25 Marie-Madeleine Héry, 26 Christiane Brochard, 27 Arlette Deroche, 28 Thérèse Aulnette, 29 Alain Leray.

***

Cette année-là, je suis scolarisé en CE2 avec Madame Leheup. Un jour, pour me punir, elle m’envoie dans la classe des CM1-CM2 où enseigne son mari. Ce dernier me demande de rejoindre Jean-Claude Lunel (lui aussi en punition) au fond de la classe où se trouve une table pouvant accueillir sept ou huit écoliers. Comme tous les élèves invités à se rendre à cet endroit, Jean-Claude et moi-même, nous devons nous positionner en ayant le dos serré contre le dessous de la table pendant un quart d’heure, sans bouger et sans broncher. Nous nous regardons mais ça ne nous fait pas rire. Notre peine purgée, Monsieur Leheup nous invite à le rejoindre au pied de l’estrade, près de son bureau. Épuisés, c’est en zigzaguant que nous y parvenons. 

[Robert Aulnette (73 ans) - le 14 décembre 2023]

RA50 (35076)

***

Cette année-là, ou la précédente, moi aussi j'ai passé un sale quart d’heure sous cette table. Je ne sais plus pour quelle raison mais je me souviens que j’étais avec Christian Gilbert. Je peux confirmer qu’une fois libéré, j’ai eu du mal à retrouver mon équilibre.

[Joseph (73 ans), frère de Robert - le 14 décembre 2023]

JA49 (35235)

***

À l'école, aux beaux jours, il nous arrive de jouer à la marelle mais nous ne sommes pas bien équipés. Un midi, en sortant de classe, je vais chercher des cales de bois chez Pierre Mercier (charron) dont l’atelier est situé près de l’église. Robert Lunel de La Haute-Bosse, qui est à la fois son neveu et son employé, me découpe les fameuses cales dans des chutes de bois de scierie. Désormais, pendant les récréations, nous n’aurons plus qu’à les pousser dans la marelle.

[Robert Aulnette (73 ans) - le 14 décembre 2023]

RA50 (35076)

*****

Je prends mes repas du midi dans une salle du patronage et la cuisine est préparée par Florentine, la bonne de l'abbé Louazel. Avec mes sœurs et moi, il y a les enfants Giboire de Pouchard, les enfants Giboire de l'Ombrais (Ercé-en-Lamée), les enfants Brochard du Briant.

Un midi, en retournant à l'école, je fais un bout de chemin avec Louis Colliot qui vient de déjeuner chez ses parents. Quand nous arrivons devant chez Bernard et Emma Chapon, il aperçoit un étourneau sur la cheminée de la maison de Fanny Cailleux.  Il a son arbalète et il tire. L'étourneau tombe sur le trottoir. Louis le ramasse  et le met dans son cartable puis il se rend à l'école et, le soir, il l'emmène chez ses parents.

[Jean-Yves Ridard (72 ans) - le 27 décembre 2023]

JYR51 (35343)

1959 – rentrée scolaire

À la rentrée scolaire de septembre 1959, un minibus assure la navette entre La Bosse et Le Sel.

Plusieurs élèves de l’école publique de La Bosse se trouvent ainsi scolarisés à l’école privée du Sel, dont le directeur est l'abbé Emile Veillard.

JA49 (35235)

1959-1963 – environ

Marie-Jeanne Hardy (originaire de Rennes) enseigne en maternelle et cours préparatoire.

JA49 (35235)

*****

En septembre 1960, quelques jours après ma première rentrée scolaire, Mademoiselle Hardy déclare à ses élèves : « Il faut que les grands aident les petits ! » Ça me vexe car, étant devenue écolière, dans ma tête je me considère déjà comme une grande.

[Joëlle Mariou, née Lemoine (67 ans) – le 8 octobre 2022]

JM54 (56233)

1959-1962 

Christiane Drécy enseigne en classe maternelle et en cours préparatoire à La Bosse.

____________________________________________________________________________________

1960 

Un certain Monsieur David enseigne à La Bosse dans les année 60. Il serait parti à Arbrissel ensuite.

1960 

Témoignage d'une élève de Madame Drécy

En 1960, à l’âge de 5 ans, j’ai débuté ma scolarité à l’école primaire de la Bosse de Bretagne en dernière année de maternelle, puis en CP avec Mme Drécy – excellente institutrice, agréable et sympathique. L’école se composait de trois classes. 1ère classe, dernière année de maternelle et CP, deuxième classe, CE1, CE2, et enfin la troisième classe, CM1, CM2 et la section Certificat d’Etudes Primaires. La classe de Mme Drécy était située au rez-de-chaussée face à la cour « des filles ». Accompagnée de mes deux sœurs Paulette, Marie-Madeleine et de mon frère Guy, je m’y rendais à vélo, « mon petit vélo rouge avec des pneus noirs ». Nos camarades, Yves Péan, Paulette et Maurice Legendre nous rejoignaient sur notre parcours à la Bellandière. Aujourd'hui, le bâtiment de l’ancienne école est totalement dédié à la mairie et ses annexes à des habitations.

Comme nous habitions loin, à La Charaie, pendant une année me semble-t-il, peut-être davantage, notre fratrie était accueillie le midi pour déjeuner chez Georgette Maleuvre, en plein centre du bourg. Sur une petite table située à droite à l’entrée de la cuisine une soupe chaude nous attendait. Elle n’est plus de ce monde mais je la remercie pour sa gentillesse.

En CE1 et CE2, les cours étaient assurés par Mme Leheup au 1er étage du même bâtiment que le CP dans une salle étroite. Pour moi, ces deux années, se sont traduites par trois années. J’ai redoublé mon CE2 dans des conditions particulières. Alors que j’étais passée en CM1 chez M. Leheup son époux, un beau matin, il m’a gentiment appelée au tableau pour résoudre une division dont je n’ai pas trouvé la solution. Il m’a immédiatement ordonné de prendre mes affaires, pour retourner en CE2 chez son épouse (d’autres élèves ont aussi redoublé dans des conditions similaires). Je n’avais que 9 ans, dans mon esprit d’enfant, j’ai ressenti une profonde injustice. A dater de ce jour, j’ai détesté le calcul et les mathématiques et ce, durant toute ma scolarité. À cette époque, les règles en vigueur à l'éducation nationale étaient rigides et sévères. Les enseignants (maîtres et maîtresses) avaient en effet une pédagogie stricte. Les élèves avaient beaucoup de devoirs et peu de droits.

L’année suivante après mon redoublement, j’ai rejoint à nouveau le CM1, puis le CM2 toujours avec M. Leheup, classe située au sein de la cour « des garçons ». Je n’étais pas vraiment épanouie. Un souvenir refait surface : Un jour, je ne m’étais sans doute pas conduite comme il convenait. Mon père passait au même moment à la mairie. A cette époque, l’instituteur était aussi Secrétaire de mairie. Il a fait venir mon père dans la classe pour lui signifier mon inconduite. Il attendait probablement que je prenne « une claque » devant tous mes camarades. Or, mon père n’a jamais levé la main sur aucun de ses enfants, il m’a juste demandé de ne pas recommencer, puis il est parti. L’instituteur, surpris et froissé, n’a pas hésité à dire que je pouvais faire comme bon il me semblait puisque mon père ne trouvait rien à y redire. Ce fut pour moi un moment de jubilation, partagé je dois le dire avec ma voisine de table Claudine Ridard. Je conserve un souvenir un peu amer de l’école primaire.

Heureusement, pour les enfants que nous étions, il y avait d’autres bons moments. Un des personnages incontournables de la commune a marqué notre jeunesse, c’était l’Abbé Louazel. Il a joué un rôle essentiel. Création du club de foot, achat de livres pour les petits que nous étions « Perlin Pinpin » et autres revues, accueil des élèves à la cantine qu’il avait créée au patronage avec Florentine son employée « ou bonne », femme d’une extrême bonté, souriante et douce. Au début du repas, il était obligatoire de réciter le bénédicité. Après notre passage chez Georgette, nous allions tous les quatre déjeuner à la cantine du patronage. A noter que nous étions des élèves de l’école publique accueillis à la cantine d’un homme d’église, ce qui était tout à fait exceptionnel. La guerre des deux France, la Catholique contre la Laïque n’existait pas à la Bosse grâce à l’intelligence de l’Abbé.

Le midi, nous avions le temps d’explorer le grand jardin du presbytère avec ses légumes, ses fruits, ses fleurs et sa petite tonnelle. Il nous arrivait aussi de nous faufiler au rez-de-chaussée du patronage où se situait la salle de théâtre pleine de poussière, alors qu’il nous était formellement interdit de nous y rendre. Le sol était en terre battue, la scène avec son rideau rouge était aussi pleine de poussière probablement en raison d’une fréquentation peu importante de ce lieu. 

C’est dans cette même salle où pour la première fois à l’âge de 6 ans ou 7 ans j’ai découvert le cinéma. Le film projeté était « la vache et le prisonnier ».

Avant Pâques, nous les élèves, étions sollicités pour le nettoyage de l’église. A cette occasion, certains d’entre nous peuvent se targuer d’avoir visité les cloches, accompagnés de l’Abbé Louazel. L’échelle d’accès était extrêmement raide voire dangereuse, mais cet événement exceptionnel n’arrêtait pas notre élan.

Le soir après la classe, pour parcourir les trois kilomètres de retour vers la maison, il nous fallait souvent une heure, en raison des discussions animées et des disputes de notre petit groupe. De temps à autre, les « Nourisson de la Vidoulière » passaient par cette route dite de Tresboeuf. Les « Douessin de la Touche Morel » de leur côté l’empruntaient beaucoup moins souvent sinon très peu. Ils se rendaient à pied à l’école par la route du Cleray. Nous faisions la route à pied avec eux seulement les jours de neige. Ces deux familles étaient nos plus proches voisins. 

L’Abbé Louazel avec son vélo pourpre, semblable à la couleur du costume ecclésiastique, jouait au gendarme pour nous surveiller sur notre parcours de retour. Il savait que nous traînions beaucoup, mais nous avions nos astuces pour le semer. C’était le jeu du chat et de la souris. Selon lui, nous étions bien les seuls à mettre une heure pour effectuer trois kilomètres à vélo, ce qui pour lui était inacceptable, nous aurions dû à cette heure-là travailler nos devoirs du soir. 

Comment ne pas oublier aussi sa silhouette en soutane sur sa moto noire, de même que ses séances de catéchisme le midi dans la sacristie située à droite de l’autel. Les garçons étaient au premier rang, les filles au second rang. Régulièrement, il nous lisait un passage de l’évangile, suivi de questions auxquelles nous étions bien incapables de répondre. Il nous traitait de païens : nous pouffions de rire. Jamais je n’ai ressenti l’ennui pendant ses leçons de catéchisme.

Devant notre ignorance, Il décidait alors de reporter la date de la communion solennelle au mois de juillet, sans doute dans l’espoir que nous soyons mieux préparés. Nous étions les seuls de la région à faire notre communion en pleine période des moissons, ce qui posait problème à de nombreuses familles d’agriculteurs dont nous étions pratiquement tous issus. Cet Abbé était totalement atypique, il allait jusqu’à apporter sa contribution aux travaux des champs dans certaines fermes lorsqu’un orage menaçait ou qu’une autre urgence surgissait. Il y aurait beaucoup d’anecdotes à raconter sur cet homme, Il a forcément laissé d’autres souvenirs à de nombreuses personnes.

J’ai quitté la région depuis bien longtemps. Pour autant, je n’ai pas oublié mes camarades de classes. J’en ai revu quelques-uns lors de mes passages, mais assez peu finalement. Malgré un début de scolarité difficile, je me suis beaucoup investie par la suite. Je suis partie travailler à Paris. Avec ténacité et pugnacité, j’ai réussi, dans le cadre de mon travail, à exercer d’autres fonctions en Afrique et au Proche Orient pendant une dizaine d’années. 

Je remercie ceux que j’ai croisés durant mon enfance, voisins et amis, pour les moments passés ensemble.

Et surtout un grand merci à mes parents, Marie et Albert, pour leur soutien et leur ouverture d’esprit indéfectibles.

Christiane Héry

[Texte écrit par Christiane Héry (63 ans) – le 16 janvier 2019]

CH55 (92073)

1961 : (dans la cour de récréation des grands) 1 Ginette Rébillard, 2 Christiane Leray, 3 Françoise Gauvin, 4 Jacqueline Douessin, 5 Marcelle Douessin, 6 Nicole Gaulay, 7 Josiane Douessin, 8 Maryvonne Prime, 9 Maurice Legendre, 10 Michel Brochard, 11 Daniel Nourisson, 12 Jeannine Belloir, 13 Annette Deroche, 14 Guy Héry, 15 Joëlle Lemoine, 16 Bernard Deroche, 17 Joëlle Hurel, 18 Christiane Grandhomme, 19 Gilbert Guiheux, 20 Michelle Gauvin, 21 Colette Douessin, 22 Bernard Deshoux, 23 Yves Péan, 24 Alain Douessin, 25 Cécile Hugues. [GL54]

1963-1965

Marguerite Eude (née le 15 décembre 1940) enseigne en classe maternelle et cours préparatoire à La Bosse de septembre 1963 à juillet 1965.

Marguerite se marie à La Bosse le 10 juillet 1965 avec André Marsolier, de La Bosse.

*****

J'étais dans la classe de Mademoiselle Eude durant l'année scolaire 1964-1965 et, le jour de son mariage, nous étions tous présents à la sortie de l'église pour lui faire une haie d'honneur.

[Marie Christine Nourisson (61 ans) – le 7 avril 2019]

MCN57

*****

Elle était gentille Mademoiselle Eude !

Au début qu’André Marsolier fréquentait Marguerite, il venait par la porte accédant à son logement de fonction. Les gens du voisinage avaient remarqué un va-et-vient et ça faisait jaser les plus curieux. Roger Paris chuchotait : « Cé ti que… cé ti que ? » Pour camoufler leurs relations amoureuses et éviter les qu'en-dira-t-on, mon mari avait suggéré à André de faire comme s'il avait besoin de venir à la mairie et, ensuite, il pouvait longer le couloir, traverser la cour de récréation, passer par le 1er préau puis le second en toute discrétion puis, arrivé dans le vestibule accolé à la classe de Marguerite, il ne lui restait plus qu’à monter l’escalier.

[Marie-Thérèse Leheup (89 ans) – le 2 octobre 2019]

MTL29 (35238)

*****

Comme Marie-Christine Nourisson et l'ensemble des filles de la classe, j'étais présente à la haie d'honneur organisée sur les marches de l'église le jour du mariage de Mademoiselle Eude. Nous étions vêtues d'une robe blanche.

Aujourd'hui, j'ai toujours en mémoire l'énorme domino aux ronds de couleur avec lequel elle nous apprenait à compter en base 10. J'y pense encore quand je calcule de tête.

[Anne-Françoise Quéguiner, née Leheup (63 ans) le 2 septembre 2022]

AFQ59 (35238)

1964 ~ : Marie-Christine Nourisson [MCN57]

1964-1970

Être l'élève de sa mère et ensuite de son père n'est pas ce que l'on croit

Je commence à aller à l'école bien avant d'être scolarisée. Après le repas du midi, ma mère me met au lit et elle reprend ses cours. Ma chambre étant à l'étage, à l'opposé de là où elle enseigne, c'est mon père qui me surveille depuis sa classe située au rez-de-chaussée. Sa porte est entrouverte et il prête l'oreille. Lorsque je me réveille, on m'emmène jouer avec les plus petits, au fond de la classe de Mademoiselle Eude qui enseigne le CP. Plus tard, lorsque ma scolarité débute réellement, je suis toujours avec Mademoiselle Eude et je me sens à l'aise. Madame Leheup (ma mère) prend le relais pour le CE1 et le CE2 mais, désormais, je suis moins enthousiaste. J'aime bien ma maman mais j'aime moins bien ma maîtresse. Chez les Leheup, la discipline est le maître-mot. Je tutoie mes parents à la maison et je les vouvoie en classe.

Monsieur Leheup (mon père) est mon instituteur en CM1 et CM2 mais, le soir, il ne m'aide jamais à faire mes devoirs. C'est ma mère qui s'en occupe. C'est elle aussi qui me fait réciter les leçons de catéchisme. Papa estime beaucoup l'abbé Louazel et il veut absolument que j'obtienne des bonnes notes. 

Un jour, ma sœur Dominique et moi-même, nous allons poster une lettre au centre-bourg. Marie-Paule Mercier, la tenancière de l'agence postale, nous donne un jeune chat noir auréolé de taches blanches sous le menton. Nous ramenons Tibert (c'est son nom) dans une boîte à sucre. Très vite, mes parents constatent que le soi-disant chat est une chatte. Ce n'est pas vraiment du goût de mon père car il sait déjà qu'à chaque fois qu'elle reproduira des chatons, il devra trouver une solution pour s'en débarrasser. Ma mère adopte "Tibert" dans sa classe. La plupart du temps elle est assise sur une pile de cahiers posés sur son bureau. Des fois, elle grimpe sur la table d'un écolier et elle essaie de renverser l'encrier. Quand elle est dans la cour de récréation et qu'elle a envie de revenir en classe, elle titille un carreau de la fenêtre avec sa patte et il y a toujours un élève à se lever pour aller lui ouvrir.

Chaque année, la semaine précédant les vacances de Noël, Mon père loue un film du genre "Les Charlots" ... et il programme un après-midi cinéma. Tous les élèves de l'école se réunissent dans sa classe pour assister à une projection sur écran. La séance terminée, nous sommes invités à nous regrouper au pied de l'estrade et, petits et grands, nous recevons une orange enveloppée dans un papier de soie blanc. Le cadeau n'est pas d'une valeur extrême mais nous l'apprécions pleinement !

[Anne-Françoise Quéguiner, née Leheup (63 ans) – le 2 septembre 2022]

AFQ59 (35238)

*****

Madame Leheup nous parlait souvent de Tibert, sa chatte que nous avions l'habitude de croiser dans la cour de récréation. Un jour elle a disparu et nous ne l’avons plus jamais revue.

[Michel Tessier (61 ans) – le 7 novembre 2022]

MT60 (35316)

Fin 1964

Michel Tessier est scolarisé à l'âge de 4 ans. Sa génération sera la dernière à utiliser le porte-plume pour écrire.

[MT60]

1965-1966

Madame David enseigne dans la classe des petits

*****

Elle m'a fait l'école. Je me me souviens que son mari possédait une 4 CV.

[Michel Tessier (61 ans) – le 6 novembre 2022]

MT60 (35316)

1965-1967 – de septembre 1965 à juillet 1967

Deux années d’école à La Bosse dont une sur chaque site

À la Saint Michel 1965, mes parents quittent leur ferme de La Chauvière (au Petit-Fougeray) et s’installent dans une nouvelle exploitation au village de Sourg. Je découvre l’école de La Bosse à douze ans et je suis scolarisé dans la classe de Monsieur Leheup. Très vite, je me fais de nouveaux copains : Michel Brochard, Bernard Deshoux, Alain Guiheux, Gilbert Guiheux, Daniel Nourisson … C’est avec ma bicyclette que je parcoure les deux kilomètres séparant la maison de l’école. Un matin, je descends la côte de Sourg à fond avec Jean-Yves (le jeune de mes frères) sur le porte-bagage. Je rate un virage et nous nous retrouvons tous deux au fossé, sous un amas de ronces. Eraflés de partout, nous remontons au village pour faire panser nos plaies. Prosper Delamarre (notre oncle) est là et il dit : « Vous êtes allés au fossé parce que vous ne vouliez pas aller à l’école … »

La rentrée 1966 est encore une année de changement mais cette fois ça concerne l'ensemble des élèves et enseignants de La Bosse. Nous abandonnons la bâtisse historique de la rue principale et les cours sont désormais enseignés dans les bâtiments qui viennent d’être construits sur la route du Sel. C'est dans une classe neuve que je termine l'école primaire en juillet 1967.

[Bernard Léveil (67 ans) – le 17 décembre 2020]

BL53 (35108)

*****

À la mi-juin, lors des 24 heures du Mans, j'ai en mémoire que M. Leheup invitait les élèves garçons de sa classe dans son propre appartement afin qu'ils puissent voir le départ à la télévision. Était-il passionné d'automobiles ou était-ce une façon de clôturer l'année scolaire dans la bonne humeur ?

Pour ses élèves, c'était un événement d'autant qu'au milieu des années 60 le téléviseur n'avait pas encore ou peu fait son apparition dans les foyers des milieux ruraux. À noter que les filles étaient exclues de cet épisode. En échange, elles bénéficiaient de moments supplémentaires de récréations.

[Christiane Héry (67 ans) – le 16 septembre 2022]

CH55 (92073)

____________________________________________________________________________________

1967

La fin de scolarité obligatoire était fixée à quatorze ans depuis 1936. Elle a été prolongée jusqu'à seize ans par l'ordonnance du 6 janvier 1959 mais la mesure ne prend effet qu'en 1967.

1967 – retour des vacances de Pâques

Une école neuve à La Bosse !

C'est au retour des vacances de Pâques 1967 que la nouvelle école (située route du Sel) ouvre ses portes et je suis parmi les premiers élèves à en bénéficier. Les locaux sont accueillants mais des contraintes nous sont imposées : il nous est interdit de marcher sur le linoleum de la classe sans avoir au préalable enfilé des patins en feutre fournis par nos parents.

Les bâtiments sont modernes toutefois ce qui nous impressionne le plus, outre la grandeur de la cour de récréation, ce sont les équipements sportifs mis à notre disposition.

Ma scolarité dans cette école ne sera que de courte durée car, à la rentrée de septembre, je rentrerai au collège à Janzé.

[Christiane Héry (66 ans) – le 23 juin 2022]

CH55 (92073)

1967

L'école de la route du Sel, en service depuis la rentrée des vacances de Pâques 1967 (photo datant de 1969)

*****

En tant qu'enseignante, j'ai vraiment apprécié le confort de la nouvelle école. Dans l'ancienne, nous étions logés à l'étroit.

Concernant l'ancienne école, nous avions le désagrément d'avoir une ferme à proximité immédiate des bâtiments. Théodore Lunel passait avec ses chevaux attelés sur le tombereau ou autres outils agricoles au ras du pignon de la classe des petits. Pire encore, l'année où il a acheté un tracteur, il a creusé au pied du mur pour élargir sa sortie et un éboulement a failli avoir lieu. L'ingénieur des Ponts-et-Chaussées était venu sur place et, pour éviter l'effondrement, il avait fait poser une croix en forme de X en haut du pignon.

[Marie-Thérèse Leheup (89 ans) le 4 octobre 2019]

MTL29 (35238)

1967-1968

Madame Bourrat enseigne en classe maternelle et cours préparatoire à La Bosse de 1967 à 1968. Auparavant elle était à l'école de Saulnières.

*****

Mme Bourrat avait une Fiat 500 blanche.

[Michel Tessier (61 ans) – le 7 novembre 2022]

MT60 (35316)

1969 – lundi 8 septembre

À la rentrée scolaire 1969-1970, les élèves passent à la semaine de quatre jours et demi d’école, au lieu de cinq précédemment. L’enseignement du samedi après-midi est supprimé.

1971 : la fratrie Tessier – Michel, Blandine, Isabelle, Eric.

1972 – vendredi 30 juin

Michel Leheup (directeur et instituteur des CM1 et CM2) ainsi que son épouse Marie-Thérèse (institutrice des CE1 et CE2) organisent leur dernière sortie scolaire à l'école de La Bosse où ils enseignent depuis septembre 1955.

Départ à 8h00 en direction de Saint-Nazaire pour une visite du port. Ensuite nous allons à La Baule et au Croisic. À 20h30, nous sommes de retour.

[Joseph Aulnette (73 ans), conducteur de l'autocar – le 30 juin 2022]

JA49 (35235)

1972 – jeudi 14 septembre

À compter de la rentrée scolaire 1972-1973, la pause hebdomadaire est fixée au mercredi et non plus au jeudi comme c’était le cas depuis 1894. Ce changement provoque une petite révolution pour les familles et les instituteurs.

1972-198x

Louis Josselin (né le 8 juin 1949) est directeur et instituteur de l'école de La Bosse du 14 septembre 1972 à 198x. Il succède à Michel Leheup, dans la classe des CM1 et CM2.

1973 ~ : 1 Mickaël Josselin, 2 Didier Justal, 3 Dominique Prime, 4 Jean-Charles Hamon, 5 Marie-Claude Hamon, 6 Didier Hugues, 7 Yannick Savouré, 8 Mme Bourdet, 9 Xavier Leclère, 10 Michel Rouiller, 11 Laurence Hugues, 12 Evelyne Massicot, 13 Stéphane Friot, 14 Blandine Tessier, 15 xxxx, 16 Vincent Leclère.

1974-1977

Madeleine Amice (née le 21 juillet 1953) est institutrice en classe maternelle et cours préparatoires à l'école de La Bosse de septembre 1974 à juillet 1977. Ensuite, elle s'en va enseigner à Chavagne.

Madeleine se marie  avec Louis Colliot de La Bosse le 9 septembre 1977.

Année scolaire 1974-1975 : (PS, GS, MS, CP) 1 Sébastien Massicot, 2 Alain Hurel, 3 Loïc Savouré, 4 Didier Hugues, 5 Jean-Charles Hamon, 6 Xavier Leclère, 7 Vincent Leclère, 8 Laurence Hugues, 9 Fabienne Hurel, 10 Marie-Claude Hamon, 11 Chantal Rouiller, 12 Michel Rouiller, 13 Mickaël Josselin, 14 Olivier Hurel, 15 Madeleine Amice (institutrice), 16 Blandine Tessier, 17 Denis Fontaine, 18 Didier Justal, 19 Stéphane Friot, 20 Yannick Savouré, 21 Evelyne Massicot.

Année scolaire 1974-1975 : (CM2) 1 Yolande Rouiller, 2 Laurence Guiheux, 3 Annie Fralin, 4 Didier Fontaine, 5 Sylvie Savouré, 6 Evelyne Nourisson, 7 Marie-Annick Fontaine, 8 Hervé Leclère, 9 Valérie Maleuvre, 10 Chantal Marcel, 11 Isabelle Tessier, 12 Jacqueline Morel, 13 Patrick Hugues, 14 Catherine Deshoux, 15 Fabienne Maleuvre, 16 Jocelyne Rébillard, 17 Fabienne Guiheux, 18 Louis Josselin (instituteur), 19 Philippe Perrudin, 20 Pierrette Rouiller, 21 Sylvie Justal, 22 Sylvie Rouiller, 23 Jocelyne Perrudin, 24 Michel Belloir, 25 Didier Belloir, 26 Pascal Josselin.

1975 : (CM1 et CM2) 1 Jean-Yves Deshoux, 2 Denis Ridard, 3 Philippe Perrudin, 4 Michel Deroche, 5 René Léveil, 6 Michel Belloir, 7 Ginette Fontaine, 8 Jacqueline Morel, 9 Réjane Rouiller, 10 Catherine Guiheux, 11 Didier Belloir, 12 Catherine Deshoux, 13 Marianne Henry, 14 Christine Rouiller, 15 Fabienne Maleuvre, 16 Eric Tessier, 17 Chantal Marcel, 18 Jocelyne Rébillard, 19 Louis Josselin (instituteur), 20 Catherine Hugues, 21 Isabelle Tessier, 22 Sylvie Rouiller, 23 Fabienne Guiheux, 24 Jocelyne Perrudin.

Juin 1975 (sortie scolaire sur l'île aux moines) :

1975 (fête de l'école) : 1 Sébastien Massicot, 2 Evelyne Massicot, 3 Jean-Charles Hamon, 4 Didier Hugues.

*****

Ce jour-là, les élèves pouvaient faire une petite balade en carriole dans le bourg moyennant un coût fixé à 1 franc par voyage. J'avais seulement 15 ans et c'est moi qui guidais la jument sur un circuit prédéfini. À la fin de cet après-midi festif, j'ai accompagné Rémi Brochard (propriétaire de la jument) chez lui au Briant mais, avant, nous avons reconduit la carriole chez Gilbert Massicot à La Mouchère.

[Michel Tessier (61 ans) – le 7 novembre 2022]

MT60 (35316)

Noël 1975 :

Année scolaire 1975-1976 : 1 Vincent Leclère, 2 Fabienne Hurel, 3 Olivier Hurel, 4 Blandine Tessier, 5 Stéphane Friot, 6 Laurence Hugues, 7 Evelyne Massicot, 8 Loïc Savouré, 9, Alain Hurel.

 

____________________________________________________________________________________

Samedi 18 octobre 1975

Affiche réalisée par Louis Colliot (fils)

***

Fest-Noz à La Bosse !

Pour organiser un fest-noz au profit de l'école (manifestation méconnue à La Bosse), je participe à plusieurs réunions organisées conjointement avec le corps enseignant et l'Amicale laïque. J'expose mon projet en indiquant que j'aurai besoin d'une aide matérielle et en particulier d'une scène. Plusieurs personnes abondent dans mon sens et c'est ainsi que divers éléments seront transbahutés sur le lieu de cette fête de nuit typiquement bretonne.

Je précise qu'il faudra faire de la publicité, notamment dans les cafés Chapon, Hugues et Perrudin. Louis Colliot (père), membre du Conseil d'administration de l'Amicale me dit : « Mon fils Louis est dessinateur et il pourrait peut-être confectionner des affiches ». Quelques jours passent et Louis (fils) me les apporte au domicile de mes parents, à Rennes.

Ce fest-noz est révélateur pour moi car, un jour de septembre 1977, la Madeleine Amice que je suis devient Madeleine Colliot.

[Madeleine Colliot, née Amice (70 ans) le 29 août 2023]

MC53 (35076)

***

Ouest-France du 29 août 2023

Des noces d'or pour les sonneurs Baron-Anneix

Jean Baron à la bombarde et Christian Anneix au bignou forment encore l'un des duos de sonneurs bretons les plus réputés. Ils sont considérés comme des ambassadeurs de la Bretagne, en France et dans le monde.

***

NB : Jean Piel et Christian Anneix  débutaient quand ils ont joué à La Bosse le 18 octobre 1975. Aujourd'hui ils en sont à 2860 fest-noz et concerts.

Année scolaire 1975-1976 : 1 Sébastien Massicot, 2 Pascal Monnier, 3 Jérôme Hamon, 4 Alexandrine Dumast, 5 Nathalie Hurel, 6 Stéphane Maleuvre, 7 Chrystèle Ridard, 8 Marie-Laure Monnier, 9 Franck Maleuvre, 10 Olivier Hurel.

1976 ~ : 1 Jérôme Hamon, 2 Béatrice Corbière, 3 Alexandrine Dumast, 4 Sébastien Belloir, 5 Nathalie Hurel.

***

1976 ~ La fratrie Massicot de La Mouchère : Evelyne, Raphaël, Sébastien.

1976 ~ : Raphaël Massicot, Stéphane Maleuvre, Myriam Leclère, Christian Hurel, Sylvain Desbois, Pascal Monnier, Franck Maleuvre.

Noël 1976 :

Noël 1976 :

197x :

Année scolaire 1976-1977 : 1 Loïc Savouré, 2 Vincent Leclère, 3 Chrystèle Ridard, 4 Sébastien Massicot, 5 Laurence Hugues, 6 Alain Hurel.

Année scolaire 1976-1977 : 1 Sébastien Massicot, 2 Béatrice Corbière, 3 Sylvain Desbois, 4 Sébastien Belloir, 5 J… Michel ? 6 Loïc Savouré.

Année scolaire 1976-1977 : 1 xxxx, 2 Raphaël Massicot, 3 Loïc Savouré, 4 Alain Hurel, 5 Nathalie Hurel, 6 Vincent Leclère, 7 Sébastien Belloir ?

Année scolaire 1976-1977 : 1 Marie-Laure Monnier, 2 Jérôme Hamon, 3 Alexandrine Dumast, 4 xxxx, 5 Stéphane Friot, 6 xxxx.

Année scolaire 1978-1979 : 1 Anthony Belloir, 2 Sandrine Chapon, 3 xxxx, 4 X Hamon ? 5 Philippe Corbière, 6 X Gautier ? 7 Myriam Leclère, 8 Christian Hurel ? 9 X Dumast, 10 Anthony Maleuvre, 11 Sylvain Desbois, 12 Pascal Monnier, 13 Stéphane Maleuvre, 14 xxxx, 15 Franck Maleuvre, 16 Jérôme Hamon, 17 Sébastien Belloir, 18 Béatrice Corbière, 19 Sébastien Massicot, 20 Marie-Laure Monnier, 21 Chrystèle Ridard 22 Nathalie Hurel, 23 Sandrine Dumast, 24 Raphaël Massicot, 25 Evelyne Massicot, 26 Olivier Hurel, 27 Fabienne Hurel, 28 Laurence Guiheux, 29 Didier Fontaine, 30 Marie-Annick Fontaine, 31 Laurence Hugues, 32 Mickaël Josselin, 33 Didier Hugues, 34 Yannick Savouré, 35 Christine Gautier, 36 Martine Gattepaille (institutrice), 37 Alain Hurel, 38 Loïc Savouré, 39 Blandine Tessier, 40 Jean-Charles Hamon, 41 Denis Fontaine, 42 Didier Justal, 43 Valérie Maleuvre, 44 Xavier Leclère, 45 Vincent Leclère, 46 Serge Gautier, 47 Louis Josselin (instituteur).

*****

Cette année-là, je suis scolarisée dans la classe de M. Josselin. Un jour, il demande à ses élèves : « Ecrivez-moi le mot "oignon"». Evelyne Massicot est la seule à donner la bonne réponse.

[Blandine Marsollier, née Tessier (52 ans) – le 28 février 2022]

BM69 (35221)

*****

Cette année-là encore (ou la précédente), avec M. Josselin, nous sommes allés à pied à la forge de René Lemoine  et nous avons assisté au ferrage d'un cheval. Un autre jour, à pied toujours, nous sommes allés rencontrer Eugène Aulnette , sculpteur, au bourg du Sel-de-Bretagne.

[Blandine Marsollier, née Tessier (53 ans) – le 19 décembre 2022]

BM69 (35221)

1978-1980

Martine Gattepaille enseigne à La Bosse de 1978 à 1980 et peut-être plus.

Année scolaire 1979-1980 : 1 Stéphanie Belloir ? 2 Hélène Lunel, 3 Cédric Dumast, 4 Véronique Hurel, 5 X Gautier, 6 Philippe Corbière, 7 Anthony Belloir, 8 Anthony Maleuvre, 9 Johann Dumast, 10 Sandrine Chapon, 11 X Jolivel, 12 Stéphane Maleuvre, 13 Pascal Monnier, 14 Raphaël Massicot, 15 Nathalie Hurel, 16 Franck Maleuvre, 17 Myriam Leclère, 18 Christian Hurel, 19 Martine Gattepaille (institutrice).

Année scolaire 1982-1983 : 1 David Lemoine, 2 xxxx, 3 Stéphanie Belloir, 4 xxxx, 5 Véronique Lunel, 6 Christophe Maleuvre, 7 xxxx, 8 Emilie Cahagne, 9 Christelle Houizot, 10 Christophe Loisel, 11 Christophe Gautier, 12 xxxx, 13 Véronique Hurel, 14 Christelle Guiheux, 15 Hélène Lunel, 16 Cédric Dumast, 17 X Gautier, 18 Céline Cahagne, 19 Cédric Cosson, 20 X Bazin, 21 Myriam Leclère, 22 Franck Maleuvre, 23 Loïc Savouré, 24 Laurence Hugues, 25 Alain Hurel, 26 Serge Gautier, 27 Alexandrine Dumast, 28 Johann Dumast, 29 Stéphane Maleuvre, 30 Louis Josselin (instituteur), 31 Christian Hurel, 32 Pascal Monnier, 33 Jérôme Hamon, 34 Bruno Bazin, 35 X Cahagne, 36 xxxx, 37 Anthony Maleuvre, 38 Cyril Hamon, 39 Isabelle Le Bigot (institutrice).

1983-...

Isabelle Le Bigot enseigne en classe enfantine à La Bosse de 1983 à .....

Année scolaire 1983-1984 : 1 Frédéric Loisel, 2 Christophe Gautier, 3 xxxx, 4 Cédric Cosson, 5 Christophe Loisel, 6 Christophe Maleuvre, 7 Véronique Lunel, 8 Béatrice Deroche, 9 Fabrice Deroche, 10 Cédric Dumast, 11 Pascal Monnier, 12 Véronique Hurel, 13 Franck Maleuvre, 14 Alexandrine Dumast, 15 Johann Dumast ? 16 Christian Hurel, 17 Anthony Maleuvre, 18 Isabelle Le Bigot (institutrice), 19 xxxx, 20 Louis Josselin (instituteur), 21 Cyril Hamon, 22 Christelle Guiheux, 23 Myriam Leclère, 24 Stéphane Maleuvre, 25 X Cahagne ? 26 Céline Cahagne, 27 Hélène Lunel, 28 Marie Rouiller (Atsem).

1984-...

Marc Jaffredo  enseigne à La Bosse en CE et CM de 1984 à ....

Année scolaire 1984-1985 : 1 Béatrice Deroche, 2 Corinne Aulnette, 3 Emilie Cahagne, 4 David Lemoine, 5 Marc Lemoine, 6 Véronique Lunel, 7 Christelle Houizot, 8 Frédéric Loisel, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 Sophie xx, 12 xxxx, 13 Cédric Cosson, 14 xxxx, 15 Christelle Guiheux, 16 Véronique Hurel, 17 Anthony Maleuvre, 18 Christian Hurel, 19 Johann Dumast, 20 Cédric Dumast, 21 Cyril Hamon, 22 Hélène Lunel, 23 Isabelle Le Bigot (institutrice), 24 Marie Rouiller (Atsem), 25 Nicolas Lacire, 26 Christophe Maleuvre, 27 Stéphanie Belloir, 28 Céline Cahagne, 29 Bruno Bazin, 30 Sarah Janvier, 31 Régis Sarthou, 32 Christophe Loisel, 33 Delphine Sarthou, 34 Marc Jaffredo (instituteur).

Mai 1985

Nous nous sommes mariés en mai 1985, Marie-Jeanne et moi, et nous avons loué un appartement à l'étage de l'école (route du Sel). Nous y sommes restés un  peu plus de deux ans.

L'autre logement était habité par Marc Jaffredo et Isabelle Le Bigot, un couple qui enseignait sur place.

[Michel Tessier (61 ans) – le 7 novembre 2022]

MT60 (35316)

1985-1989

Catherine Marzin enseigne en classe enfantine à La Bosse de ~ 1985 à 1989.

Septembre 1987

Ghislaine Ridard est nommée enseignante en CE et CM à La Bosse

Mars 1988

Sylvie Gourdin-Servenière est nommée enseignante en CE et CM à La Bosse

Septembre 1988

Gwennhaële Bourquin-Cabedoce est nommée enseignante en CE et CM à La Bosse

Septembre 1989

Caroline Guillet est nommée enseignante en CE et CM à La Bosse

Septembre 1990

Marie-Pierre Guibert est nommée enseignante en classe enfantine et CE2 à La Bosse

Septembre 1995

Denis Robert est nommé enseignant en classe CM1 à La Bosse

Année scolaire 1997-1998 : 1 Anthony Courtois, 2 Claire Chomel, 3 Sabrina Hamon, 4 Camille Guitton, 5 Pauline Esnault, 6 Vincent Rigault, 7 Delphine Parmentier, 8 Elodie Leroutier, 9 Laetitia Joce, 10 Anaïs Lemerdi, 11 Cindy Bouyaux, 12 Tiphaine Morel, 13 Yvonnik Gauthier, 14 Denis Robert (instituteur), 15 Rémy Deroche, 16 Elodie xx, 17 Antoine Leroutier, 18 Mélissa Ganthier, 19 Alexandre Chapon.

Septembre 1999

Valérie Aguelon est nommée enseignante en classe CE1 et CE2 à La Bosse

Septembre 2001

Olivier Faguet est nommé enseignant en en classe de CM1 à La Bosse

Septembre 2002

Nathalie Lallican (née en 1975) est directrice et institutrice en classe de CM1 et CM2 à l’école de La Bosse

Classe de  Nathalie Lallican :  1 xxxx,  2 xxxx,  3 xxxx,  4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 Nathalie Lallican, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx. [NL75 via ND60]

2002-2011

Marie-Anne Marchand enseigne à La Bosse de la rentrée de septembre 2002 à juillet 2011, principalement à des élèves de CE2 et CM1 puis, sur une plus courte durée, à des CE1 et CM2.

Année scolaire 2002-2003 : 1 Judikaël Bougault, 2 xxxx, 3 Angueran Buono, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 Aurélien Molon, 7 Lauriane Bourrée, 8 Manuel Ruaudel, 9 Claire Bourguignon, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 Dylan Ganthier, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16  Fabien Le Joly, 17 xxxx, 18 Noémie Robert, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 Samuel Ménard, 22 Marjolaine Bouthiller, 23 xxxx, 24 Marie-Anne Marchand.

2003-2004

Philippe Goarnisson est directeur et instituteur de l’école de La Bosse de septembre 2003 à 2004. Il enseigne aux élèves de CM1 et CM2.

Février 2004 (carnaval) : 1 xxxx, 2 xxxx, 3 xxxx, 4 xxxx, 5 xxxx, 6 xxxx, 7 xxxx, 8 xxxx, 9 xxxx, 10 xxxx, 11 xxxx, 12 xxxx, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 xxxx, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 xxxx, 22 xxxx, 23 xxxx, 24 xxxx , 25 xxxx, 26 xxxx, 27 xxxx, 28 xxxx, 29 xxxx, 30 xxxx, 31 xxxx, 32 xxxx, 33 xxxx, 34 xxxx, 35 xxxx, 36 xxxx, 37 xxxx, 38 xxxx, 39 Nicolle Deroche, 40 xxxx.

2004 à 2008 minimum

Mme Benard est directrice de l'école à la rentrée de septembre 2004. Elle enseigne en CM1 et CM2.

2004-2011

Sarah Dobelin (née vers 1976) est institutrice à l’école de La Bosse de 2004 à 2011. Elle enseigne aux élèves de CM1 CM2 les premières années et en classe maternelle ensuite. Plus tard, elle devient directrice.

2004 à compter de septembre

Daniela Lagrâce arrive en septembre 2004 à l’école de La Bosse, année où a lieu la réouverture de la classe maternelle dans laquelle elle est reste trois ou quatre ans. Ensuite, elle enseigne à différents niveaux.

Année scolaire 2004-2005 : 1 xxxx, 2 xxxx, 3 Lucille Fontes, 4 Annaëlle Hamon, 5 Laura Bouono, 6 xxxx, 7 Elodie xx, 8 Stéphanie Molon, 9 Marie Robin, 10 xxxx, 11 Bruno Robin, 12 Stéphanie Charpentier, 13 xxxx, 14 Nathan Thébault, 15 Marie-Anne Marchand, 16 Elvina Morel, 17 Mayenne Bouffon, 18 Noémie Robert, 19 Kélig Brault, 20 Corentin Posson, 21 Samuel Ménard.

Samedi 22 septembre 2007 - Yvette Pleinfossé retrouve ses anciens élèves (1954 à 1959) à La Bosse : 1 Rolande Deroche-Massicot, 2 Michel Brochard, 3 Thérèse Giboire-Monnier, 4 Marie-Madeleine Ridard, 5 Yvette Pleinfossé-Gosselet, 6 Maryvonne Aulnette-Falaise, 7 Annette Nourisson-Jolivel, 8 Marie-Louise Giboire-Lebas, 9 Marie-Paule Hervochon-Thomas, 10 Michel Jardin, 11 Christiane Giboire-Fontaine, 12 Robert Aulnette, 13 Françoise Guiheux-Aulnette, 14 Thérèse Hurel-Divet, 15 Bernard Aulnette, 16 Marie-Jeanne Dumast-Bodinier, 17 Liliane Prunault-Corbière, 18 Thérèse Aulnette-Lunel, 19 Maryvonne Prime-Etendard, 20 Christiane Brochard-Perrin, 21 Jean-Pierre Hervochon, 22 Danielle Maleuvre, 23 René Aulnette, 24 Nicole Gaulay-Suhard, 25 Lucien Pairin, 26 Gérard Rébillard, 27 Jean-Claude Aulnette, 28 André Maleuvre, 29 Michel Drouin, 30 Louis Colliot, 31 Jean-Claude Lunel, 32 Bernard Chapon, 33 Joseph Aulnette.

Samedi 22 septembre 2007 : 1 Michel Brochard, 2 Thérèse Giboire-Monnier, 3 Marie-Madeleine Ridard, 4 Yvette Pleinfossé-Gosselet, 5 Maryvonne Aulnette-Falaise, 6 Annette Nourisson-Jolivel, 7 Marie-Louise Giboire-Lebas, 8 Marie-Paule Hervochon-Thomas, 9 Michel Jardin, 10 Rolande Deroche-Massicot, 11 Christiane Giboire-Fontaine, 12 Robert Aulnette, 13 Nicole Gilbert-Bonsergent, 14 Bernard Aulnette, 15 Marie-Jeanne Dumast-Bodinier, 16 Liliane Prunault-Corbière, 17 Thérèse Aulnette-Lunel, 18 Maryvonne Prime-Etendard, 19 Christiane Brochard-Perrin, 20 Jean-Pierre Hervochon, 21 Danielle Maleuvre, 22 René Aulnette, 23 Nicole Gaulay-Suhard, 24 Lucien Pairin, 25 Gérard Rébillard, 26 Jean-Claude Aulnette, 27 André Maleuvre, 28 Michel Drouin, 29 Louis Colliot, 30 Jean-Claude Lunel, 31 Bernard Chapon, 32 Joseph Aulnette.

Ouest-France du 24 septembre 2007

Souvenir du samedi 22 septembre 2007

Le samedi 22 septembre 2007, les anciens élèves de Mademoiselle Pleinfossé se sont retrouvés.

Eté 2008

Le Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) La Bosse – Le Sel – Saulnières s’arrête après une vingtaine d’années d’existence.

Année scolaire 2008-2009 : 1 xxxx, 2 Laurie Gestin, 3 X Perré, 4 X Aubry, 5 Alyssia Massicot, 6 Valentin Dumast, 7 xxxx, 8 X Dudous, 9 Marion Pioline, 10 Damien Molon, 11 Cassandre Fertard, 12 X Espana, 13 xxxx, 14 xxxx, 15 Marie-Anne Marchand.

Année scolaire 2010-2011 : 1 xxxx, 2 Maelys xx, 3 Valentin Paci, 4 Elodie Gérard, 5 Alyssia Massicot, 6 Laurie Gestin, 7 xxxx, 8 X Amossé, 9 Loodwig Houssais, 10 xxxx, 11 X Perré, 12 Valentin Dumast, 13 xxxx, 14 Fanny Aubry, 15 Florian Pioline, 16 xxxx, 17 xxxx, 18 xxxx, 19 xxxx, 20 xxxx, 21 Kévin Chatigny, 22 xxxx, 23 Adrien Dumast, 24 Marie-Anne Marchand.

Année scolaire 2011-2012

  • Hélène Lebret enseigne en maternelle 
  • Violaine Taurand (directrice) enseigne en CP, CE1 et CE2
  • Daniela Lagrâce enseigne en CM1 et CM2

Année scolaire 2015-2016

  • Hélène Lebret enseigne en maternelle ?
  • Violaine Taurand (directrice) enseigne en CP, CE1 et CE2 ?
  • Daniela Lagrâce enseigne en CM1 et CM2 ?

2019 – rentrée scolaire du lundi 2 septembre

À compter du lundi 2 septembre 2019, l’âge de l’instruction obligatoire est abaissé à 3 ans. Depuis la loi sur l'enseignement primaire obligatoire du mardi 28 mars 1882, il était fixé à six ans.

Année scolaire 2019-2020

  • Hélène Lebret enseigne en maternelle
  • Violaine Taurand (directrice) enseigne en CP et CE1
  • Mme Chassé enseigne en CE2, CM1 et CM2

____________________________________________________________________________________

 

Année scolaire 2020-2021

  • Hélène Lebret enseigne en maternelle
  • Violaine Taurand (directrice) enseigne en CP, CE1 et CE2
  • Mme Chassé enseigne en CM1 et CM2

Août 2022 : Les descendants de Marcel et Suzanne Louise, assis sur les marches de l'ancienne école où Maryvonne (leur fille à gauche) a été scolarisée jusqu'en juillet 1944, année de ses onze ans.

Marcel a été directeur et instituteur à l'école de La Bosse puis secrétaire de mairie du 1er octobre 1927 à juillet 1939. En août, il fût mobilisé pour partir à la guerre.

Suzanne (née Lucas) a été institutrice à La Bosse du 16 septembre 1932 au 31 décembre 1944

[Publié le 13 août 2022]

Dimanche 20 août 2023

Retrouvailles des anciens élèves de La Bosse !

Une journée réunissant 215 participants a lieu ce dimanche 20 août 2023 au complexe de la salle communale. Elle débute à 10h30 et elle dure jusqu’à tard dans la soirée.

Les festivités rassemblent des anciens élèves ayant appris à lire, à écrire et à compter à l’école de La Bosse. Le plus âgé, Bernard Massicot, a fait sa rentrée scolaire en octobre 1932. Aujourd'hui, il est à l’aube de ses 97 ans. 

Huit nonagénaires sont présents : 

  1. Bernard Massicot (97 ans)
  2. Jacques Papail (91 ans)
  3. Marcel Massicot (90 ans)
  4. Maryvonne Louise (90 ans)
  5. Monique Lecomte-Massicot (95 ans)
  6. Robert Lunel (92 ans)
  7. Rolande Lunel-Monnier (93 ans)
  8. Thérèse Tessier-Aulnette (90 ans)

Marcel Massicot a fait le déplacement depuis Marcq-en-Barœul (614 km) pour assister à ces retrouvailles émouvantes.

L'accueil des participants et le mot du maire initialement prévus à 13h30 sont retardés de deux heures (16h30 - 17h30) de façon à permettre aux convives de déjeuner sereinement.

*

Chaque participant se voit attribuer un gobelet en harmonie avec les écoles d'avant et d'après la rentrée de l'année scolaire 1966-1967.

Chacun est muni d'un badge personnalisé à l'exemple de Bernard Massicot, le doyen des élèves.

Voir ci-dessous la vidéo des retrouvailles du 20 août 2023 réalisée par Daniel Jolivel

Photos transmises par Véronique Lunel-Esnault

Robert Lunel

Marcel Massicot - Robert Lunel

Marcel Massicot - Robert Lunel

Jean-Paul Hugues - Dominique Motreff

Aline Massicot-Giboire

Anne-Françoise Leheup-Quéguiner

Louis Colliot - Madeleine Amice-Colliot

Michelle Marsollier-Suhard - Laurent Poujola - Christine Lunel-Hamon - Jean-Charles Hamon

Joël Latouche - Ginette Rébillard-Latouche - Yves Prunault

Yves Prunault - Evelyne Massicot-Prime - Rolande Dubourg-Lunel - Gilles Prunault - Christine Guiheux-Prunault - Robert Lunel

Joëlle Colliot - Dominique Prime - Evelyne Massicot-Prime

Lucien Pairin - Gilles Prunault - Jean Corbière

Madeleine Aulnette-Tessier - Yvette Guibert-Rouyer - Emmanuel Ricque - Jocelyne Rébillard - Laurent Poujola

André Marsolier - Robert Lunel - Louis Mérel

Robert Aulnette

Jean-Luc Marsolier - Jacques Papail - Nicole Dousseau-Papail

Denise Georget-Aulnette - Marie-Paule Hervochon-Thomas - Chrystèle Ridard

Jean-Claude Aulnette

*

Jean-Claude Saucet - Jean-Claude Aulnette - Odette Deniel-Lunel - Dominique Motreff - Jean-Paul Hugues - Marguerite Eude-Marsolier - Anne-Françoise Leheup-Quéguiner -

Etienne Deroche - Jean-Claude Saucet - Odette Deniel-Lunel - Dominique Motreff - Jean-Paul Hugues - Marguerite Eude-Marsolier - Anne-Françoise Leheup-Quéguiner -

Daniel Herail - Didier Hugues

Cécile Hugues-Herail - Daniel Herail - Didier Hugues

Cécile Hugues-Herail - Daniel Herail - Didier Hugues

Cécile Hugues-Herail

Cécile Hugues-Herail - Daniel Herail

Didier Hugues

Pauline Esnault-Lunel - Camille Esnault-Lunel - Robert Lunel - Hélène Lunel - Lucien Lechaux

Marie-Claire Bozec-Deroche

Christine Richard-Douessin - Denis Ridard - ..... Ridard (épouse de Denis) - André Maleuvre - Michel Jardin

Robert Lunel

Patrick Pitard

Isabelle Tessier-Saulnier - Blandine Tessier-Marsollier - Emmanuel Ricque - Sylviane Caffiers-Héry - Michel L'Hermine - Michel Jardin

Isabelle Tessier-Saulnier - Emmanuel Ricque - Blandine Tessier-Marsollier -

Philippe Viaud - Olivier Rouiller - Marie-Thérèse Brochard-Moreau - Cécile Hugues - 

Elisabeth Lacire-Chapon - Hervé Chapon - ............. - Alain Chapon - Eric Tessier - Yves Prunault - Marie-Madeleine Héry-Gérard

Hervé Chapon - Alain Chapon

Annie Legeard-Nourisson - Jean-Claude Aulnette

Louis Mérel - Marie-Hélène Lunel-Pitard - Marie Aulnette-Bitauld - Denise Georget-Aulnette

Patrick Justal - Xavier Leclère

Evelyne Massicot-Prime

Dominique Prime - Evelyne Massicot-Prime - Jean-Charles Hamon - Christine Lunel-Hamon

Fabienne Maleuvre - Valérie Maleuvre

Bruno Bazin - Vincent Leclère

Jacques Papail - Rolande Dubourg-Lunel - Odette Deniel-Lunel

Rolande Dubourg-Lunel - Odette Deniel-Lunel - Robert Lunel

Joseph Aulnette

Jean-Paul Hugues

Hélène Lunel

Madeleine Aulnette-Tessier

Roland Divet - Denise Georget-Aulnette

Joseph Lunel - Thérèse Aulnette-Lunel - Christiane Brochard-Perrin

Sylvie Justal

Jeannine Massicot-Giboire - Aline Massicot-Giboire - Claudine-Cadorel-Hamon

Christophe Maleuvre

Christian Hurel - Ange Bagot - .... - Yves Prunault - Cathy Garçon-Massicot - Fabienne Massicot - Claudine Cadorel-Hamon - Raphaël Massicot - Roland Divet - Marie-Claude Marsolier-Kergoat - Jean-Luc Marsolier - Charles Quéguiner

Isabelle Tessier-Saulnier - Joseph Aulnette

Robert Bodinier - Jean Corbière - ........ - Fabienne Massicot - Cathy Garçon-Massicot - Claudine Cadorel-Hamon - Roland Divet - Jean-Yves Ridard

Roland Divet - Jean-Yves Ridard - ....... - Catherine Guiheux Lemousse - Jean-Luc Marsolier - Charles Quéguiner - Madeleine Amice-Colliot - Claudine Rébillard

Jeannine Massicot-Giboire - Claudine Cadorel-Hamon

Michel Drouin - Roland Divet

Pauline Esnault-Lunel - Camille Esnault-Lunel

Odile Morel - Hervé Belloir - Vincent Leclère

Vincent Leclère

Louis Mérel - Georges Bignon - Marie-Jeanne Aulnette-Bignon - Pierrette Morel-Aulnette - Marie-France Leray-Guibert

Georges Bignon - Marie-Jeanne Aulnette-Bignon

Annette Deroche-Jumel

Camille Esnault-Lunel

Pauline Esnault-Lunel

Robert Lunel

Thérèse Giboire-Monnier - Marcel Massicot - Robert Lunel - Rolande Deroche-Massicot - Rolande Lunel-Monnier - Pierrette Morel-Aulnette

Hélène Lunel

Marie-Jo Hamon

Maryvonne Louise - Thérèse Tessier-Aulnette - Armelle Louise - Bernard Aulnette - Danièle Chantebel-Aulnette - Madeleine Aulnette-Tessier - Yvette Guibert-Rouyer - Christophe Rouyer

*

Jean-Charles Hamon - Christiane Héry - Philippe Dudous

Claude Hervochon - Joseph Aulnette - Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson - Christiane Héry

Joseph Aulnette - Jean-Claude Lunel - Claude Hervochon - Marie-Paule Hervochon-Thomas - Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson - Christiane Héry

*

*

Laurent Poujola - Myriam Leclère - Michel Henry - Hervé Leclère - Camille Aulnette

Marie-Annie Desbois-Albert

Joseph Aulnette - Jean-Claude Lunel - Claude Hervochon - Marie-Paule Hervochon-Thomas - Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson - Christiane Héry

Joseph Lunel - Christian Massicot

Monique Lecomte-Massicot - Jeannine Massicot-Giboire - Bernard Massicot

Yves Leclère - Thérèse Aulnette-Lunel - Cathy Garçon-Massicot

Cathy Garçon-Massicot

Jean-Claude Lunel - Claude Hervochon - Marie-Paule Hervochon-Thomas

Anne-Françoise Leheup-Quéguiner

Marie-Claude Marsolier-Kergoat - Corinne Marsolier-Journo

André Marsolier

Michel Drouin

Viviane Hersant-Chapon

Bernard Chapon

Hervé Chapon

Aline Massicot-Giboire - Rolande Deroche-Massicot

Pascale Forget-Henry

Viviane Hersant-Chapon

Rolande Lunel-Monnier - Monique Lecomte-Massicot - Jeannine Massicot-Giboire

Jeannine Massicot-Giboire - Fabienne Massicot

Marie-Christine Nourisson - Christiane Héry

Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson - Christiane Héry

Daniel Jolivel

Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson

Lucien Lechaux - Pauline Esnault-Lunel - Camille Esnault-Lunel

Andrée Mérel - Danièle Chantebel-Aulnette - Evelyne Nourisson

Yvette Guibert-Rouyer - Myriam Leclère - Camille Aulnette

Alain Douessin - Daniel Nourisson - Annette Nourisson-Jolivel - Michel Drouin

Claude Maleuvre

Annette Nourisson-Jolivel

Annaëlle Hamon

Annaëlle Hamon

Annaëlle Hamon - Gaëlle Hamon

*

Marie-Thérèse Brochard-Moreau - Christiane Brochard-Perrin - Marie-Jeanne Lévêque-Tessier - Christine Richard-Douessin - Annette Rabu-Douessin - Alain Douessin - Emile Thomas - Charles Moreau - Marcel Perrin - Romain Douessin - Michel Tessier - Eric Tessier

Raphaël Massicot - Dominique Prime - Christian Hurel - Jérôme Hamon - Cyrille Hamon - Valérie Maleuvre - Jean-Michel Giboire

Raphaël Massicot - Dominique Prime - Christian Hurel - xxxx - xxxx - Valérie Maleuvre

Michel Tessier - Vincent Massicot

Roland Divet - Claudine Cadorel-Hamon

Dominique Prime - Emile Thomas

Christine Lunel-Hamon - 

Martine Fontaine-Rébillard - Patrick Pitard

Roland Divet - Raphaël Massicot - Dominique Prime - Christian Hurel - Sylvie Justal - Valérie Maleuvre Jean-Michel Giboire

Robert Aulnette - Gabriel Suhard - Marie Aulnette-Bitauld - Sébastien Massicot - Paulette Héry-Janvier - Marie-Claire Bozec-Deroche - Thérèse Messu-Bagot - Ange Bagot

Lucien Lechaux - Pauline Esnault-Lunel - Camille Esnault-Lunel

Pierrette Morel-Aulnette - Bernard Meheust - Philippe Viaud - Marie-France Leray-Guibert - Laurent Poujola - Olivier Rouiller - Alfred Guibert - Andrée Mérel - Cécile Briand-Rouiller - Myriam Leclère - Pierrette Rouiller-Viaud

Marie-Claire Bozec-Deroche - Marie-Jeanne Dumast-Bodinier - Marie-Jeanne Dumast-Bodinier - Madeleine Héry-Gérard -  Thérèse Messu-Bagot - Annette Deroche-Jumel - Sylviane Caffiers-Héry - Marie-Jo Hamon -Ange Bagot - Annie Aulnette-Rousseau - Arlette Guerrois-Leray - Thérèse Giboire-Monnier

Robert Aulnette - Thierry Lemousse - Gabriel Suhard - Marie Aulnette-Bitauld - Sébastien Massicot - Paulette Héry-Janvier

Sébastien Massicot - Jean Corbière

Véronique Lebeau-Massicot

Louis Colliot - Marie-Léone Halgand-Chapon

Louis Colliot - Marie-Léone Halgand-Chapon

Françoise Guiheux-Aulnette - Gilles Prunault

Gilles Prunault

Thierry Lemousse

Marie-Madeleine Héry-Gérard

Marie-Jo Hamon - Sylviane Caffiers-Héry - Albert Félix Pairin - Marcel Massicot

Robert Lunel - Yannick Eon

Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel

Marie-France Leray-Guibert - Alfred Guibert -Christophe Rouyer - Bernard Aulnette

Chantal Hugues

Madeleine Amice-Colliot - Marie Aulnette-Bitauld

Annette Deroche-Jumel - Marie-Jo Hamon

Liliane Prunault-Corbière - Jean Corbière

Jean Corbière - Rolande Deroche-Massicot

Robert Bodinier

Thierry Lemousse - Etienne Deroche - Gabriel Suhard - Michelle Marsollier-Suhard - Louis Colliot - Liliane Prunault-Corbière - Sébastien Massicot - Jean Corbière - Marie-Jeanne Dumast-Bodinier - Stéphanie Lebeau-Massicot - Paulette Héry-Janvier - Annette Deroche-Jumel - Marie-Madeleine Héry-Gérard - Sylviane Caffiers-Héry

Michelle Marsollier-Suhard - Liliane Prunault-Corbière - Marie Aulnette-Bitauld - Sébastien Massicot - Jean Corbière - Véronique Lebeau-Massicot - Paulette Héry-Janvier - Annette Deroche-Jumel - Marie-Madeleine Héry-Gérard - Sylviane Caffiers-Héry - Marcel Massicot - Annie Aulnette-Rousseau - Arlette Guerrois-Leray

*

Albert Félix Pairin

Marie-Claude Marsolier-Kergoat

Marie-France Leray-Guibert - Marcel Massicot - Robert Lunel - Odile Mérel

Robert Lunel - Thérèse Messu-Bagot

Odette Deniel-Lunel

Christian Massicot

Marcel Massicot - Fabienne Massicot

Odette Deniel-Lunel - Robert Lunel - Marcel Massicot

Dominique Prime - Fabienne Massicot - Raphaël Massicot - Evelyne Massicot-Prime - Jean-Michel Giboire - Cathy Garçon-Massicot - Christian Massicot - Bernard Massicot - Rolande Deroche-Massicot - Lionel Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Patricia Giboire - Monique Lecomte-Massicot -Aline Massicot-Giboire - Sébastien Massicot - Marcel Massicot - Véronique Lebeau-Massicot - Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel - Véronique Lunel-Esnault - Hélène Lunel

Raphaël Massicot - Dominique Prime - Jean-Michel Giboire - Evelyne Massicot-Prime - Cathy Garçon-Massicot - Bernard Massicot - Christian Massicot - Rolande Deroche-Massicot - Lionel Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Patricia Giboire - Monique Lecomte-Massicot -Aline Massicot-Giboire - Sébastien Massicot - Marcel Massicot - Véronique Lebeau-Massicot - Fabienne Massicot

Raphaël Massicot - Dominique Prime - Jean-Michel Giboire - Evelyne Massicot-Prime - Cathy Garçon-Massicot - Bernard Massicot

Evelyne Massicot-Prime - Cathy Garçon-Massicot - Bernard Massicot - Christian Massicot - Rolande Deroche-Massicot - Lionel Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Patricia Giboire - Monique Lecomte-Massicot - Aline Massicot-Giboire

Rolande Deroche-Massicot - Lionel Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Patricia Giboire - Monique Lecomte-Massicot -Aline Massicot-Giboire - Sébastien Massicot - Marcel Massicot - Véronique Lebeau-Massicot - Fabienne Massicot

Raphaël Massicot - Dominique Prime - Jean-Michel Giboire - Evelyne Massicot-Prime - Cathy Garçon-Massicot - Bernard Massicot - Christian Massicot - Rolande Deroche-Massicot - Lionel Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Patricia Giboire - Monique Lecomte-Massicot - Aline Massicot-Giboire - Sébastien Massicot - Marcel Massicot - Véronique Lebeau-Massicot - Fabienne Massicot

Patricia Giboire - Aline Massicot-Giboire - Lionel Giboire

Evelyne Massicot-Prime - Bernard Massicot

*

Evelyne Massicot-Prime - Bernard Massicot

Monique Lecomte-Massicot

Jean-Michel Giboire - Patricia Giboire

Marie-Léone Halgand-Chapon - Georges Colliot - Jean-Claude Lunel

Alain Chapon - Bernard Chapon

Alain Chapon - Bernard Chapon

Alain Chapon - Georges Colliot - Louis Colliot - Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel

Georges Colliot - Louis Colliot - Joëlle Colliot - Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel

Stéphane Posson - ....

Jean-Charles Hamon

Odette Deniel-Lunel - Marie-Françoise Legave-Lemoine - André Lemoine

André Lemoine - Robert Aulnette - Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel

André Lemoine - Robert Aulnette - Robert Lunel - Odette Deniel-Lunel

Christiane Héry - Marie-Françoise Legave-Lemoine

Robert Aulnette - Robert Lunel

André Lemoine

Denise Georget-Aulnette - Françoise Guiheux-Aulnette

Chantal Ridard - Christiane Héry

Evelyne Nourisson - Annette Nourisson-Jolivel - Christiane Héry - Chantal Ridard

Fin des photos transmises par Véronique Lunel-Esnault

_________________________________________________________________

Photos transmises par Eric Tessier

*

Pierrette Morel-Aulnette - Marie-France Leray-Aulnette - Alfred Guibert - Bernard Aulnette - Danièle Chantebel-Aulnette - Madeleine Aulnette-Tessier - Yvette Guibert-Rouyer - Blandine Tessier-Marsollier - Hélène Lunel - Bernard Meheust - Marie-Madeleine Ridard - Andrée Mérel - Christophe Rouyer - Marie-Jeanne Dumast-Bodinier - Robert Bodinier - Yannick Eon - Fabienne Maleuvre - Evelyne Nourisson - Laurent Poujola - Myriam Leclère

Fabienne Maleuvre - Evelyne Nourisson - Christophe Rouyer - Laurent Poujola - Myriam Leclère - Hervé Leclère - Camille Aulnette - Marie-Annie Desbois-Albert - Gérard Albert

Joseph Aulnette - Jean-Charles Hamon

Marcel Massicot - Jacques Papail

Rolande Lunel-Monnier - Maryvonne Louise

Bernard Massicot

____________________________________________________________________________________

Photos transmises par divers participants

-  dj50 via bb78

14h20 : Violaine Taurand (directrice de l'école et institutrice depuis 2011) et Hélène Lebret (institutrice depuis 2011). ja49

15h55 - Jean-Charles Hamon - Philippe Dudous - Marie-Françoise Legave-Lemoine - Stéphane Posson  ja49

15h55 - Jean-Yves Aulnette - Thérèse Hurel-Divet - Thérèse Tessier-Aulnette  ja49

16h10 - Rolande Deroche-Massicot - Marcel Massicot - Aline Massicot-Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Monique Lecomte-Massicot - Bernard Massicot  ja49

16h11 - Dominique Prime - Laurent Poujola - Rolande Lunel-Monnier - Monique Lecomte-Massicot - Bernard Massicot - Jeannine Massicot  ja49

16h11 - Valérie Maleuvre - André Marsolier  ja49

16h11 - Roseline Soulard-Massicot - Cathy Garçon-Massicot - Vincent Massicot  ja49

16h11 - Camille Aulnette - Anne Laforgue-Aulnette - Janine Divay-Aulnette - Jean-Yves Aulnette - Albert Félix Pairin - Michel Drouin - Gérard Rébillard - Roland Divet - Bernard Chapon - Thérèse Hurel-Divet  ja49

16h12 : xxxx - Marie-Jeanne Aulnette - Colette Rébillard - Alfred Guibert - Robert Aulnette - Ginette Rébillard-Latouche - Claudine Rébillard - Emmanuel Ricque ja49

16h12 : Janine Divay-Aulnette - Jean-Yves Aulnette - Albert Félix Pairin - Michel Drouin - Gérard Rébillard - Roland Divet ja49

____________________________________________________________________________________

Photos transmises par Denise Georget-Aulnette

Bernard Meheust - Andrée Mérel - Jean-Claude Saucet - Odile Mérel

Chrystèle Ridard - Marie-Madeleine Ridard - Bernard Meheust - Jean-Claude Saucet

Bernard Meheust - Odile Mérel - Chrystèle Ridard - Marie-Madeleine Ridard

Louis Maleuvre - Isabelle Giraud-Maleuvre

André Maleuvre - Marie-Thérèse Perrigaud-Maleuvre - Emma Maleuvre

André Maleuvre - Louis Maleuvre - Isabelle Giraud-Maleuvre - Michel Jardin - Danielle Le Gac-Jardin

Marie Aulnette-Bitauld - Danièle Chantebel-Aulnette

Daniel Nourisson - Louis Mérel - Georges Bignon - Marie-Jeanne Aulnette-Bignon

Pierrette Morel-Aulnette - Marie-France Leray-Guibert - Alfred Guibert - Jean-Claude Aulnette

Paulette Héry-Janvier

Marie-Madeleine Héry-Gérard - Françoise Guiheux-Aulnette

Fabrice Desbois - Gérard Albert - Xavier Leclère - Patrick Justal - Marie-Annie Desbois-Albert - xxxx

Yves Prunault - Chantal Hugues - Michelle Marsollier-Suhard - Gabriel Suhard

Michelle Marsollier-Suhard - Gabriel Suhard - Anne-Françoise Leheup-Quéguiner

Etienne Deroche - Arlette Guerrois-Leray - Bernard Aulnette - Michelle Danezan

Etienne Deroche - Jean-Charles Hamon - Michelle Danezan  - Christine Lunel-Hamon

Rolande Deroche-Massicot - Marcel Massicot

Myriam Leclère - Laurent Poujola

Evelyne Massicot-Prime - Chantal Hugues - Christian Massicot - Vincent Massicot - Dominique Prime

Louis Colliot - Georges Colliot - Chantal Hugues

Annie Aulnette-Rousseau - Christine Guiheux-Prunault - Thierry Lemousse - Robert Aulnette

Joëlle Colliot - Yves Prunault - Annie Aulnette-Rousseau - Thierry Lemousse - Robert Aulnette - Louis Colliot - Georges Colliot

Emmanuel Ricque - Joël Latouche - Jocelyne Rébillard - Colette Rébillard

Emmanuel Ricque - Jocelyne Rébillard - Colette Rébillard - Thierry Lemousse

Jocelyne Rébillard - Colette Rébillard - Thierry Lemousse - Robert Aulnette - Christine Guiheux-Prunault - Gilles Prunault

Marie-Léone Halgand-Chapon - Elisabeth Lacire-Chapon - Hervé Chapon

Fabienne Maleuvre - Evelyne Nourisson - Yannick Eon - Valérie Maleuvre

Thérèse Hurel-Divet - Didier Hugues - Cécile Hugues-Herail - Jean-Yves Aulnette - Daniel Herail - Bernard Chapon - Viviane Hersant-Chapon

Emmanuel Ricque - Alain Chapon - Olivier Rouiller

Philippe Viaud - Viviane Hersant-Chapon - Alain Chapon - Olivier Rouiller - Valérie Maleuvre

Gérard Rébillard - Jean-Claude Lunel - Stéphane Posson - Gaëlle Hamon - Annaëlle Hamon - xxxx

Alain Chapon - Fabienne Massicot - Cathy Garçon-Massicot - Claudine Cadorel-Hamon - Michel Drouin - Roland Divet - Jean-Yves Ridard - Jean-Luc Marsolier - Yves Leclère - Charles Quéguiner - Catherine Guiheux-Lemousse

Véronique Lunel-Esnault - Dominique Motreff - Hélène Lunel

Michel L'Hermine - Jean-Guy Aulnette - Marie-Jo Hamon

Michel L'Hermine - Jean-Guy Aulnette - Marie-Jo Hamon

Madeleine Aulnette-Tessier - Christophe Rouyer - Yvette Guibert-Rouyer - Maryvonne Louise - Thérèse Tessier-Aulnette

Madeleine Aulnette-Tessier - Christophe Rouyer - Armelle Louise - Yvette Guibert-Rouyer - Maryvonne Louise - Thérèse Tessier-Aulnette

Christine Lunel-Hamon - Blandine Tessier-Marsollier

___________________________________________________________________________________

Photos transmises par Claude Hervochon

Lionel Massicot - Aline Massicot-Giboire - Jeannine Massicot-Giboire - Laurent Poujola - Bernard Massicot - Dominique Prime - Etienne Deroche - Marie-Jo Hamon ch41

- ch41

- ch41

Gabriel Suhard - Marie Aulnette -Bitauld - Paulette Héry-Janvier - Marie-Madeleine Héry-Gérard - Sylviane Caffiers-Héry - Annie Aulnette-Rousseau - Thérèse Messu-Bagot - Ange Bagot ch41

21h13 - Madeleine Amice-Colliot, à gauche (institutrice de septembre 1974 à juillet 1977) avec deux de ses élèves : Jean-Charles Hamon (maire actuel) et Evelyne Massicot-Prime.  ja49

__________________________________________________________________________________

Photos transmises par Ginette Rébillard-Latouche

Christine Guiheux-Prunault - Gilles Prunault - Jocelyne Rébillard - Colette Rébillard - Thierry Lemousse - Robert Aulnette

Emmanuel Ricque - Joël Latouche - Jocelyne Rébillard - Colette Rébillard

Louis Colliot - Georges Colliot - Christine Lunel-Hamon - Christian Massicot - Vincent Massicot - Myriam Leclère - Monique Lecomte-Massicot - Bernard Massicot - Denise Georget-Aulnette

Martine Fontaine-Rébillard - André Lemoine

Marie-Madeleine Ridard - Jean-Claude Lunel - Gérard Rébillard - Claude Maleuvre - Martine Fontaine-Rébillard

Gérard Rébillard - Marie-Thérèse Brochard-Moreau - Daniel Jolivel

Joseph Aulnette - Jean-Claude Lunel - Claude Hervochon - Marie-Paule Hervochon-Thomas - Philippe Dudous - Marie-Christine Nourisson, Christiane Héry

Alain Chapon - Georges Colliot - Joëlle Colliot - Jocelyne Rébillard - Emmanuel Ricque - Martine Fontaine-Rébillard - Claudine Rébillard - Marie-Thérèse Perrigaud-Maleuvre - 

Gérard Rébillard - Bernard Dumast - Jean-Claude Lunel - Michel Latouche - Joël Latouche - Yves Prunault - Gilles Prunault

Alain Chapon - André Lemoine

Robert Aulnette - Evelyne Massicot-Prime - Françoise Guiheux-Aulnette - Daniel Jolivel

Gérard Rébillard - Martine Fontaine-Rébillard - Véronique Lunel-Esnault - Daniel Jolivel

Joseph Aulnette - Marie-Christine Nourisson - Chantal Ridard

*

 

Quelques réactions à propos de cette journée de retrouvailles

1) Merci aux organisateurs, les élèves étaient contents. [Bernard Aulnette (85 ans) - le 21 août 2023]

2) J'en connais qui doivent être rincés mais ils peuvent être satisfaits et fiers d'avoir organisé cette belle journée de retrouvailles pour le bonheur de tous. Merci à toute l'équipe et bon repos bien mérité. [Isabelle Tessier-Saulnier (59 ans) - le 21 août 2023]

3) Merci pour belle et magnifique journée de retrouvailles très bien organisée. [André Maleuvre (74 ans) et son épouse Marie-Thérèse, née Perrigaud (74 ans) - le 21 août 2023]

4) Un grand merci pour la journée de dimanche. Une très heureuse initiative qui m'a permis de retrouver pas mal de personnes que je n'avais pas revues depuis mon adolescence. Une journée fort sympathique. De bien belles rencontres. [Michel Henry (64 ans) - le 21 août 2023]

5) J'ai été très déçue de ne pouvoir être des vôtres. J'ai eu des échos et paraît que c'était très réussi. Félicitations pour l'organisation et le temps consacré. [Danièle Maleuvre (81 ans) le 21 août 2023]

6) Super ce genre de fête, on en a tous besoin. [Josette Jégu-Martin (76 ans) - le 22 août 2023]

7) Je viens d'avoir Maman au téléphone. Elle m'a dit que c'était trop bien. Mes parents ont passé une excellente journée et ils sont ravis d'avoir pu rencontrer plein de monde et se remémorer leurs souvenirs. Toute ma considération pour l'organisation. [Véronique Lunel-Esnault (45 ans) le 22 août 2023]

8) Super journée de retrouvailles. Super ambiance avec le soleil au top. [Evelyne Massicot-Prime (53 ans) - le 22 août 2023]

9) Félicitations pour cette belle organisation. (Jean-Claude Blouin (76 ans) - le 22 août 2023]

10) J'ai eu Rolande Lunel-Monnier au téléphone. Comme nous, elle est ravie de sa journée de dimanche. Merci à toute l'équipe. [Blandine Tessier-Marsollier. (54 ans) - le 22 août 2023]

11) Cela a été une superbe journée de retrouvailles. Ravie d'avoir retrouvé les anciens élèves, les voisins, les copains (es)de mes frères. Au top. Félicitations pour cette belle journée. [Marie-Annie Desbois-Albert (66 ans) - le 22 août 2023]

12) Un grand merci pour avoir organisé ces retrouvailles. Tout était parfait. [Alfred Guibert (80 ans) et son épouse Marie-France, née Leray (76 ans) - le 22 août 2023]

13) Merci à toute l'équipe pour cette belle journée. [Annette Nourisson-Jolivel (70 ans) - le 23 août 2023]

14) Merci pour ce très bon souvenir d'une journée mémorable. Bravo pour l'organisation des retrouvailles. [Jacques Papail (91 ans) - le 24 août 2023]

15) Merci aux organisateurs de cette journée qui restera inoubliable. [Gabriel Suhard (82 ans) et son épouse Michelle, née Marsollier (76 ans) - le 24 août 2023]

16) Journée top qui restera mémorable. Journée de retrouvailles riche en rencontres, émotions, anecdotes, partage et convivialité. Nos plus jeunes ont également adoré la journée et le bal, au point de ne plus vouloir partir. La Bosse a du succès. Bravo aux organisateurs et bénévoles pour nous avoir offert cette belle journée de retrouvailles des anciens élèves de la commune. [Hélène Lunel (46 ans) - le 24 août 2023]

17) Ça fait presqu'une semaine que la fête est passée et j'y pense encore. (Yves Prunault (70 ans) - le 26 août 2023]

18) Bravo aux organisateurs. Je suis certain que si ma maman, Odette Gaulay, était encore de ce monde elle n'aurai pas voulu louper cette occasion de retrouver les Bosséens et Bosséennes chers à son cœur. [Joël Debroize (70 ans) - le 26 août 2023]

19) Félicitations pour cette superbe organisation (Michel Joliveau (76 ans) - le 26 août 2023]

20) Superbe journée que Maman - Yvette Guibert-Rouyer - a adoré. Un grand merci pour elle et tous ceux qui ont eu le bonheur de se retrouver. [Laurence Rouyer-Perron (64 ans) - le 27 août 2023]

21) C'était super ! Nous avons passé une très bonne journée et on entend que des compliments. [Robert Lunel (92 ans) - le 13 septembre 2023]

22) Je tiens à dire combien j'ai été heureuse d'assister aux retrouvailles des anciens élèves de La Bosse. Cette journée a été vraiment forte en émotion. J'ai échangé avec des camarades que je n'avais pas revus depuis tant et tant d'années. Merci de tout cœur ! [Thérèse Messu-Bagot (83 ans) - le 14 septembre 2023]

23) Je suis très content de cette journée passée à La Bosse. J'ai eu l'impression de faire un rêve en retrouvant des garçons et des filles que je n'avais pas revu depuis mes dix ans. [Camille Aulnette (84 ans) - le 18 septembre 2023]

24) J'ai été surpris de voir autant de monde. C'était très bien. Je suis content et prêt à recommencer. [Bernard Massicot (97 ans) - le 5 octobre 2023]

25) Merci pour l'organisation ainsi que pour tout ce qui a été fait. [Monique Lecomte-Massicot (95 ans) - le 5 octobre 2023]

26) « Au nom de l'association "Les Parents s'y collent" de l'école des Noës (La Bosse-de-Bretagne), nous vous remercions infiniment pour votre générosité à hauteur de 340,00€ correspondant au bénéfice réalisé le 20 août 2023 lors des retrouvailles des anciens élèves de La Bosse. Nous avons de beaux projets pour l'école cette année, notamment et éventuellement de nouvelles structures de jeux pour la récréation de nos écoliers. Ce coup de pouce est une très belle aide pour ce projet. Merci encore ! » [Elisabeth Cabral Fouquet (41 ans), Présidente de l'APE de La Bosse-de-Bretagne - le 17 octobre 2023]

27) Très belle réussite pour ces retrouvailles. Pour ma part, je suis ravie d'avoir revu beaucoup de personnes surtout une copine retrouvée le soir, juste avant de partir. [Fabienne Massicot (57 ans) - le 27 octobre 2023]

Ouest-France du jeudi 24 août 2023

Journal l'Eclaireur du 25 août 2023

Clins d'œil du 8 septembre 2023

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
D
Si cela vous intéresse je peux vous dire les noms des enfants qui se trouve avec Denis Robert
Répondre
C
De la Bouvetière à Pancé
Répondre
J
Bonjour Claudine,<br /> Vous dîtes que Jean Massicot (maire de La Bosse de 1800 à 1805) était sans doute un de vos ascendants. Vous dîtes aussi que Robert Massicot est votre papa, que Rolande Monnier est votre marraine. Pour ma part, concernant les Massicot cités sur le lien que vous avez partagé sur Facebook hier soir, j'ai des souvenirs de Jean, Ferdinand, Aurélie et j'ai souvent entendu mes parents parler de Thaddée qui peut-être était votre grand-père ?<br /> Si vous avez des photos ou des anecdotes susceptibles d'enrichir ce blog, je suis preneur.<br /> Merci à vous,<br /> Joseph<br />
C
Je suis la filleule de Rolande Monnier. <br /> Mes parents étaient de la Bouverie te de Lancé. Robert Massicot et Janine Morel<br /> Je vous félicite pour votre travail. <br /> J' ai decouvert des photos ou apparaissent des membres de famille. Incroyable !!<br /> De 1948 et autres! <br /> FekicitFélici. Ça a été un vrai plaisir .<br /> Très cdt<br /> Claudine Massicot<br /> Sauf erreur le premier maire Morel cité est un descendant de ma famille.. selon les recherches que je ai fais. Son fils est parti sur Pancé et delà que toute "ma famille" est de Lancé et non de la Bosse!!<br /> <br /> Quelqu un fait comme vous sur Pancé?
Répondre